Ma drole de famille (24)
Datte: 23/06/2017,
Catégories:
Zoophilie,
... dans sa niche pour se nettoyer le sexe. Je n’ai eu la force de me lever pour entrer dans la maison qu’une demi-heure plus tard. J’enfile ma jupe et mon corsage et je vais dans la partie gauche de la grange, dans le box de Tonnerre. Je vérifie qu’il à tout ce qu’il faut. Je remarque que sa bite sort de sa gaine et commence à pendre sous son ventre. Je sors du box, ce cheval m’impressionne par sa taille et sa vigueur. Je vais dans l’autre partie de la grange, dans le box de Léonard pour lui donner un peu de foin et vérifier le niveau de son eau. J’ai l’habitude, il commence à me connaitre et je rentre dans son box pour tout vérifier. Il me regarde, il doit émaner de moi une odeur de femelle en chaleur et comme il est entier, son sexe sort de son fourreau et s’allonge doucement. C’est la première fois que je vois son sexe sortir et pendre sous son ventre. Je suis fascinée, je savais que les ânes ont d’énormes sexes, mais là, ça dépasse toutes mes espérances, surtout qu’il n’est pas raide, mais pend encore sous son ventre. Je me mets à côté de lui et lui saisit son sexe. Je me penche et lui donne quelques coups de langue sur le bout de son membre. Il perle des gouttes de liquide que je goutte, ce n’est pas du tout mauvais, j’adore ce goût un peu âpre. Je sens cet énorme vit palpiter sous ma main, le dirige vers mon sexe et me frotte le clitoris avec. Je suis parcouru de frissons, mais le sexe se durci de plus en plus et devient raide comme un bout de bois sous son ventre. Léonard ...
... commence à s’énerver et donne de grands coups de rein, ce qui me déséquilibre un peu. Je prends peur car il s’excite rapidement et sors du box. Il a l’air de se calmer et vient vers moi. Son sexe est toujours raide, horizontal sous son ventre. Il sort la tête de son box, je lui caresse le front, il reste calme. Son sexe commence à redescendre, je ne peux résister, fais valser mon corsage et ma jupe et entre dans le box pour m’en saisir. Il reste calme, le liquide goutte toujours au bout de son sexe, je me penche pour le lécher et me régaler de cette source de vie. Je récupère la totalité du liquide qui coule de plus en plus au fur et à mesure que son sexe se raidi. J’appréhende sa réaction, mais, contrairement à tout à l’heure, il reste toujours aussi calme, il ne donne pas de coup de rein et se laisse lécher la bite. Je ne peux m’empêcher de me saisir de ce braquemard des deux mains et de le masturber doucement. Il réagit, mais sans brusquerie, je me glisse sous son ventre, fait descendre au maximum son sexe pour pouvoir le glisser entre mes jambes. Je serre les jambes sur cette barre de bois bien dure. Son gland touche mon clitoris, j’ai envie de le sentir en moi, mais je n’ose pas me retourner et me pencher en avant pour lui présenter ma vulve qui dégouline de cyprine. J’écarte au maximum mes jambes et fais glisser le bout de son sexe sur mes lèvres. Elles s’ouvrent pour laisser le passage, mais je ne suis pas dans une bonne position pour le recevoir en moi. Léonard reste ...