1. Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Anne-Marie, sa mère (3)


    Datte: 23/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... après s’en être copieusement enduit son défonce-cul. Cette fois je sens la tête de son gland humide sur mon petit trou et je sais que le moment fatidique approche. Je serre les dents et j’essaye de détendre le trou de mon cul. — Prête à un nouveau plaisir maman? demande Patrick qui ne doute décidément de rien. — Ohhh ouuiii. Je le suis ! Encule-moi et explose-moi les boyaux ! Maintenant, c’est son gland qui appuie sur ma rosette, il pousse un peu plus et mon sphincter s’ouvre enfin. Je respire profondément quand je sens la grande tête épaisse franchir l’étroit passage. Doucement il commence à me pénétrer mais a du mal à entrer dans mon petit orifice. Mon anus accepte difficilement l’intromission du gland volumineux. -Ooohhh aïe aïe doucement Patrick, tu me fais mal, tu es si gros! Il pose ses mains sur mes hanches et pousse encore plus fort. -Aaaaaaaaaaaaaah !!! Mon dieu que ça fait maaaaaal noooooooon !!! Mon trou se dilate progressivement sous la pression de ce gland énorme. -Putain tu me casse le fion avec ton bélier !!! Mais mon corps dit le contraire car je recule mes fesses pour m’empaler sur son membre. Son engin s’insinue lentement dans mon étroit conduit. Sa verge glisse en moi me procurant une sensation puissante. Je gémis mais il n’arrête pas sa poussée… Il m’encule pour la première fois, et sûrement pas la dernière! Un véritable régal ! Tout mon corps en tremble et je suis contente de constater que je suis capable d’absorber par derrière la force virile si ...
    ... imposante de Patrick. Je crie quand même quand, sans attendre il augmente la pression et que progressivement son énorme queue s’introduit dans mon étroit conduit. Son gland défriche le chemin au fur et à mesure de sa progression. Je supporte stoïquement la douleur, j’ai l’impression qu’il me déchire mais petit-à-petit, le plaisir reprend le dessus. Ses mains tirent sur mes hanches pour qu’il entre encore plus loin en moi. Je hurle, le suppliant d’arrêter, mais plus rien ne peut le réfréner. Il commence un lent va et vient enfonçant son mandrin au trois quart, sa bite ressort et ce renfonce toujours un peu plus gagnant 2 à 3cm à chaque poussée. — Je ne te fais pas mal ? me demande-t-il. — Non… oui… tu es si gros et si dur mais je ne veux pas que tu t’arrêtes! Il continue sa poussée et la douleur sournoise est encore présente, des larmes coulent sur mes joues. Je serre les dents à chaque centimètre supplémentaire de son monstre dans mon cul. Et d’un coup il enfonce sa bite jusqu’à la garde dans mon fondement. Il m’encule de toutes ses forces dilatant mon cul à l’extrême, me faisant hurler à en faire trembler les murs. — Aaaaahhhhh.....ouuuuhhhh.... AAAAAHHH Putain!!!! Tu aurais pu prévenir ! -Wouaaaaaaaah!! ooooooooooh !!! noooooooooooon !!! Il s’immobilise, la totalité de son manche au plus profond de mes entrailles, me laissant enfin un instant de répit pour m’habituer à cette présence incongrue. — Maman..., Tu n’as pas trop mal, je peux lâcher les chevaux ???? — Ooooh... ouiiiii... ...
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