1. Sénior et escort


    Datte: 23/07/2019, Catégories: Humour,

    ... de la soie constatais-je à mi voix.Je fais signe au garçon, règle les consos et nous quittons l'établissement main dans la main, naturellement.Ma calèche est à trois minutes, j'ai le temps d'apprécier ce moment, sans paroles mais précurseur d'une aventure qui sera, je le sais, agréable et sans lendemain.J'ouvre la portière, la dame entre avec élégance, je referme, fais le tour, passant par devant, surveillant mon allure car je sais qu'elle épie le mâle.Je m'installe, choisis de traverser Paris par le centre car c'est vraiment une ville dont on ne peut se lasser. Ma voiture est très silencieuse, j'ai chargé l'appareil à disques de classique, chansons Françaises et jazz. Ma passagère à l'air d'apprécier Milles Davis, reste silencieuse, profite du spectacle de la ville. Moi, de celui de ses jambes et surtout de ses cuisses, gainées d'un bas noir, très fin semble t-il. Parfois, vu de ma place, le déboutonnage savant du chemisier me laisse à penser à une absence de sous-tif.Nous sortons de la ville, déjà La Défense, puis l'A14, direction la Normandie, le classique pour parisien en quête d'air et d'iode. Magique cette caisse, depuis le volant je pilote la musique, et pour changer d'ambiance Vilalobos! Sur l'autoroute à vitesse normale le moteur est inaudible, les accords de guitare parfaits, la passagère lovée dans le conoly délicat, rêveuse, sensuelle. Je l'observe souvent, discrètement et suis attiré par le bâillement incessant de ce chemisier. Je lève un peu le pied, et, n'y ...
    ... tenant plus glisse ma main dans le passage libre et si provocateur. Je cueille ce sein, si désiré comme un fruit délicat, et, délicat, il l'est.- Madame dis-je connement, je vérifie juste la température afin...- Idiot, taisez vous et continuez, c'est très cosy chez vous je suis bien,votre caresse est bienvenue...Cela dit avec ce délicieux accent. J'en suis tourneboulé!Ce que femme veut, Dieu veut surtout si elle paie et c'est le cas. Je me considère seulement comme un ustensile, utile certes. Ce sein est juste fait pour ma main. Et puisque nous allons vers la Normandie, comme la louche et la crème me dis-je sans l'exprimer, restons dans cette douce ambiance, cette douce peau, et une attention particulière pour le téton qui se réveille, l'aréole qui, délicatement se dilate. Je caresse doucement, et ce téton qui me grattouille le creux de la main subtilement.. Très bon, et pas seulement pour moi.Elle sort de sa légère torpeur, et subitement avec ses deux mains, écrase la mienne sur son propre sein. Surpris, je lève encore un peu le pied. Elle me relâche, j'en profite pour passer la musique sur du Eric Satie, gymnaupedies et autres facéties pianistiques. Et ma main revient faire une nouvelle caresse, un peu égoïstement j'avoue. L'ambiance est magique, le piano égrène ses notes, la créature émet un léger feulement, la bagnole se fait totalement oublier. Je vois une main, qui n'est pas la mienne, se diriger vers une cuisse, remonter la courbe de cette dernière, faisant crisseriez le ...
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