1. Ce soir, c'est soirée Foutre !


    Datte: 23/07/2019, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, fhhh, grp, fbi, jeunes, cadeau, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme pénétratio, Partouze / Groupe jeu, délire, humour,

    ... juter sur la figure… J’ai envie de te lécher comme Andréa tout à l’heure. Même s’ils n’étaient pas censés entendre ce qu’elle me disait, mes deux zigotos n’en ont pas perdu une miette. — T’inquiètes, on va t’arranger ça. Tu te sens d’attaque, toi, là-dessous ?— Plutôt deux fois qu’une ! Purée, j’ai envie de voir ça ! Leurs pistonnages, qui s’étaient plutôt ralentis pendant que Juliette me parlait, reprennent de plus belle, et je sens le plaisir qui monte, qui monte, qui monte… Et comme, pendant ce temps, le garçon qui baisait consciencieusement Juliette vient d’exploser en elle, nous partons quasiment simultanément pour une énième jouissance. Lorsque je rouvre les yeux, c’est pour voir deux queues s’agiter au-dessus de mon visage, et à en juger par l’ardeur qu’ils y mettent, l’explosion est proche, au grand ravissement de celle à qui tout ce foutre est tout de même destiné et qui n’en perd pas une miette. J’ai le visage en feu, et ça tombe bien, j’ai l’impression d’être un incendie de forêt aux prises avec deux Canadairs… Un premier largage s’abat sur mon menton et mes lèvres, suivi d’un deuxième qui ne vient pas de la même direction. Et le feu ne risque pas de reprendre tout de suite, puisque j’en ai jusque dans les cheveux. Ah, c’est au tour de la pompière de venir s’assurer qu’il ne reste plus de flammèches, elle s’y prend d’une bien curieuse manière puisqu’elle lèche consciencieusement le théâtre d’opération, récupérant ainsi l’excèdent de produit retardant. Puis, ...
    ... comme il ne faut rien perdre, elle avale le tout, et après avoir vérifié qu’il ne restait plus rien sur les lances d’incendie, s’en va sur une autre zone d’embrasement. Ah, après le feu, les inondations ! Celles-ci ont changé de secteur, elles se déroulent plutôt au niveau de mon entrejambe. Je ne sais pas quel est le sexe du sapeur qui est train de s’en occuper, mais il ne cesse d’aller de mon bouton magique à l’orée de ma chatte… Du coup, j’ai plutôt affaire à un pompier incendiaire, qui passe son temps à rallumer le brasier qu’il a lui-même éteint deux minutes plus tôt. Mais je crois bien que tout cela va bientôt finir, un tsunami se profile à l’horizon, il s’approche, s’approche encore et, une fois de plus, je couine, sans vraiment avoir compris ce qui se passait. Quelques minutes plus tard, les idées vaguement remises en place, je me retrouve au buffet, j’ai faim. C’est bien connu, les émotions, ça creuse ! Tandis que je me bricole un en-cas, l’un des garçons m’aborde. En fait, il ne s’agit pas de n’importe qui, il s’agit de celui du tout début de la soirée, quand nous étions dans la cuisine. Il me sert un soda, et embraye tout de suite. — Dites-moi, madame la boulangère, vous ne m’aviez pas parlé de la porte du fournil, tout à l’heure ? Le message est reçu cinq sur cinq. — Ah, je vois… Monsieur a peur que je l’aie roulé dans la farine…— Non, mais puisque l’on parle de pain, j’aimerais bien ne pas être chocolat.— Oh, je ne suis pas une religieuse, mais je veux bien être la ...