1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°932)


    Datte: 23/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    2 soumises prêtées au Château – (suite de l'épisode précédent N°931) Mélanie faillit en lâcher le plat quand elle entendit son Maître dire cela ! Mais que se passait-il ? Qu'avait prévu nos Maitres avec Monsieur le Marquis ? Avaient-ils organisé une semaine de dressage pour nous deux sous prétexte que nous avions émis comme fantasme de pouvoir rencontrer Sir Evans ? Le rencontrer certes, c’était notre souhait le plus cher, mais pas lui être livrées en pâture pour un dressage qui plus est . Je frémis en le comprenant . Naïves que nous avions été de croire que que nous passerions une semaine de vacances dans cette luxueuse demeure à profiter d'avantages qui nous étaient inconnus et qui le resteront encore vu la tournure que prenaient les événements . Je restais ainsi, exagérément cambrée, tout le reste du repas. Parfois le Marquis me donnait une claque quand la douleur de mon dos me faisait me redresser légèrement . Il s'en apercevait et m’obligeait à reprendre la bonne position . J'avais le bas du dos qui me brulait tant la position trop forte et trop longtemps tenue me faisait mal . Mélanie continua le service seule . Allant et venant de l'un à l'autre des convives qui se faisaient un malin plaisir à la demander lorsqu'elle était de l'autre côté de la table, l'obligeant à courir avec ses escarpins et lui donnant qui une claque sur les fesses parce qu'elle n'était pas arrivée assez vite, qui lui pinçant un mamelon pour le plaisir, qui l'obligeant à ramasser un quignon de pain ...
    ... tombé sur le tapis en lui interdisant de plier les genoux, exposant ainsi aux regards de tous, son sexe luisant de mouille, gonflé comme un fruit juteux prêt à être cueilli. Elle continua d'aller et venir tout le long de ce repas . Les conversations allaient bon train, mais je n'en suivi pas le fil . Mes bras semblaient peser des tonnes et mon dos cambré me tenait dans une douleur constante . J'avais beaucoup de mal à tenir la position sur la quelle je devais me concentrer pour ne pas la perdre . Et puis le Marquis demanda à mon Maître et à celui de Lailelou s'ils avaient pensé apporter des laisses pour leur chiennes. Choses qu'ils n'avaient pas avec eux bien sûr. - Qu'à cela ne tienne. Walter ! Apportez nous sur le champ deux laisses pour ces chiennes ! - Bien Monsieur le Marquis, tout de suite ! - à genoux vous deux en attendant ! Toi dit-il a Mélanie, viens te placer à côté d'elle en me désignant. Elle se plaça près de moi. Brulures intenses dans mes épaules quand je baissais les bras, engourdis par la trop longue attente, soulagement de mon dos quand je me mis à quatre pattes . Bien que la position fût humiliante, je l’appréciai tant elle soulagea mon dos. Walter revint avec les laisses et nos Maîtres les fixèrent à nos colliers . - Bien allons prendre un digestif et fumer un cigare au petit salon pour finir cette agréable soirée , proposa le Marquis satisfait, il se dirigea vers une porte encadrée par deux magnifiques consoles et les convives lui emboitèrent le pas . - ...
«1234»