Ma mère dans l'entrepôt (1) - Histoires de Sexe

Ma mère dans l'entrepôt (1)

.Je m’appelle Laurent, j’ai trente ans. Ma mère bosse en tant que responsable des stocks d’un entrepôt alimentaire. Je vais parfois l’aider dans des coups de bourre, à porter des caisses, ce genre… Il faut dire que je suis plutôt costaud, 1m85, 90 kilos de muscles très légèrement enrobés. Accessoirement, je suis châtain, yeux bleus, pas trop moche. Ce jour, c’était une fin d’après midi d’un vendredi, j’étais allé aider. Puis j’étais rentré chez moi… mais une fois sur place, je m’étais rendu compte que j’avais oublié mes clefs de maison. J’étais donc retourné à l’entrepôt pour les récupérer. J’espérais que ma mère y serait encore. Et de fait, l’entrepôt était encore ouvert. Je rentrai et commençai à chercher mes clefs… C’est alors que j’entendis des voix venant des stocks. Par curiosité, j’allai voir… -Non, arrête, Roger, ça suffit. C’était la voix de ma mère, elle était comme embarrassée. -Bah ! Allez Simone, t’en as envie, ça se voit. Et là y’a plus personne. Là c’était la voix de Roger, un employé de l’entrepôt. Intrigué, je jetai un œil en catimini, caché derrière un rayonnage de denrée… et ce que je vis me paralysa : Roger, la soixantaine sèche, tripotait carrément ma mère, qui s’en défendait faiblement. Ses mains pressaient ses gros seins au travers de son chemisier, il l’embrassait dans le cou : -Non Roger, tu es marié, ce n’est pas bien, protestait mollement ma mère. Tu es marié, et puis je dois rentrer. -On s’en fout de ma femme, on est bien là, non ? négociait ...

... Roger, avec ses mains qui pressaient maintenant le gros cul de ma mère. Ma mère avait 56 ans et des formes bien girondes. Gros cul, gros seins, et pas très grande. Elle était brune, coupé mi court. Et là elle rougissait sous les essais de Roger. Cela me choquait… mais en même temps cela me fascinait. Je n’aurais jamais pensé voir ma mère si sage dans ce genre de situation. A ma connaissance, il n’y avait pas d’homme dans sa vie depuis plusieurs années, et ça ne l’intéressait plus. Je restai caché, à observer. Roger se montrait vraiment entreprenant, dans son genre. Il sortit carrément sa bite de son pantalon pour montrer à ma mère comme il bandait… et il bandait fort, en effet. Sa verge était longue, épaisse et gonflée, surgissant d’une masse de poils grisonnants. J’en restai estomaqué… et ma mère aussi, elle rougit : -Tu es fou, Roger, arrête ! -Allez, ça te plait Simone, tu la dévores des yeux, ma bite. Ma mère ne savait plus où se mettre, et Roger enchaîna, en la mettant à genoux plus ou moins de force : -Dévore la avec ta bouche, plutôt. Ça fait combien de temps que t’as pas sucé un mec hein ? Vas y, tu la veux ça se voit. Ma mère rougissait de plus belle, perdue, à genoux face à cette grosse bite : -Oh Roger, non, ce n’est pas bien… C’était très faible comme dénégation. Ma mère aimait-elle se faire ainsi un peu forcer ? Cela me captivait… et en même temps ça commençait à m’exciter ! La tenant par l’arrière de la tête, Roger lui mit sa bite dans la bouche. Et sous son emprise ...