1. Jeux osés au cinéma


    Datte: 31/08/2017, Catégories: 2couples, fbi, couplus, parking, cinéma, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, échange, jeu, confession, entrecoup, lieuxpubl,

    ... comme si l’un et l’autre agissaient de concert par moi interposée. Le sentant partir, je m’empresse de contenir son éjaculation en portant ma main sur son gland, sentant alors son sperme tiède emplir ma paume et ruisseler doucement le long de mon poignet. Arnaud se vide jusqu’au bout, attend quelques instants, puis se saisit de ma main souillée et la guide lentement mais fermement vers mes seins : — Tu caresses très bien, c’était super… Enduis-toi les seins avec… quand on sortira, Marlène te tétera aux WC… Je marque un temps d’hésitation, je me dis que ce jeune couple est vraiment très dévergondé, imaginatif et un brin pervers. Mais, après tout, en acceptant de venir « jouer » avec eux, Thibault et moi attendions / espérions quelque chose de fort : nous étions servis au-delà de ce que nous aurions pu espérer… La paume en l’air pour essayer de ne pas perdre trop de liquide en route, je le laisse guider ma main vers l’endroit convoité. Quelques secondes plus tard, j’enduis doucement mes mamelons de cette crème particulière, sous l’œil attentif de Marlène, qui ne perd pas une goutte de mon manège. Elle se penche vers moi : — Tu veux bien, alors ?— … Quoi… ?— Venir aux toilettes avec moi après le film… J’opine de la tête dans la pénombre. — Et tu voudras bien qu’Arnaud te baise après ? Whaou, là, je la trouve hyper gonflée : je n’imaginais pas qu’on pouvait aller si loin lors d’une première rencontre : comme quoi il ne faut plus se fier à la jeunesse… — Pas très discret, un ...
    ... homme dans les WC filles… Elle sourit dans la pénombre, revient vers moi : — Non, en plus, on n’entrerait pas tous dans une cabine… mais on peut faire ça dehors, sur le parking, on est garé dans un coin tranquille, sous les arbres, près de l’espace Chaudeau… Et si ton mari veut me baiser, aussi, pas de souci… Plus directe, tu meurs… Je lui réponds d’un nouveau hochement de tête : cette nana est vraiment une jolie salope, comme je les aime ceci dit, suis-je obligée de m’avouer. Le film tire à sa fin, je me suis essuyé la main dans un Kleenex qui était dans la poche de mon loden, dont j’ai réajusté les pans, sans les fermer néanmoins, à la demande expresse d’Arnaud : — Reste comme ça, Marlène va sortir sans remettre ses boutons, c’est chaud. Fais pareil si tu oses… Quelques minutes plus tard, le générique de fin apparaît à l’écran, les lumières se rallument. La salle se réveille peu à peu de sa torpeur, les gens se lèvent, rejoignent le bout des rangées pour prendre les escaliers qui remontent vers la sortie. Autour de nous, nul ne semble avoir remarqué quoi que ce soit. Marlène se lève, effectivement sans avoir remis un seul bouton de son manteau Kookaï : elle semble habituée de la chose ; le vêtement s’entrouvre juste assez pour que moi, qui sais, voie sa nudité, mais pas assez pour attirer des regards anonymes et non au parfum de la chose. Elle suit Thibault qui la précède avec un naturel déconcertant. Elle se retourne, me sourit, comme pour me défier d’y aller.« Petite pute, tu ...
«12...4567»