Henri a dit
Datte: 24/07/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
extracon,
inconnu,
copains,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
échange,
jeu,
glaçon,
portrait,
humour,
jeux,
... certaine excitation. Avais-je le droit, sans être accusé de lèse-majesté, de dire moi-même, par exemple : Aurélie, Henri a dit approche-toi de moi, pour que je suce tes jolis tétons ? J’en mourrais d’envie mais je n’ai pas osé. D’ailleurs Henri a fini par ôter ses lèvres de l’opulente poitrine de ma compagne. Il s’est d’abord adressé à Aurélie, puis à Laura elle-même, qui respirait très vite, apparemment fort satisfaite de ce qu’il venait de lui faire : — Henri a dit : Aurélie, déshabille Julien, sans toutefois lui enlever son boxer ou son slip. Pendant ce temps, Laura, Henri a dit : déshabille-moi aussi, mais laisse-moi mon boxer car il n’est pas encore temps d’exhiber mon auguste sceptre ! Les douces mains d’Aurélie déboutonnèrent ma chemise, ôtèrent mes chaussettes, déboutonnèrent ma braguette, firent descendre mon jean non sans frôler ma bite gonflée de désir. Ah, si Henri avait eu la bonté de dire à Aurélie qu’Henri avait dit qu’elle devait y porter la bouche ! Mais Henri n’a pas dit qu’Henri l’avait dit, hélas. Et pendant ce temps, ma compagne déshabillait Henri, en riant comme une malade. Nous, les garçons, nous étions donc en slip ou boxer alors que Charlotte et Aurélie étaient nues et Laura en petite culotte bleu-nuit. — Henri a dit, Laura, que celui qui aura l’insigne privilège d’ôter ta petite culotte disposera de ton corps – et toi du sien – pendant… une heure, la nuit entière, une semaine, un mois ? Décide ! Henri a dit : décide !— On peut commencer par une ...
... nuit, on verra après.— Ta réponse me convient, marquise ! Alors, qui ?— …— Henri a dit : qui ?— Toi, bien sûr ! Ils sont partis dans la chambre. Charlotte et Aurélie étaient là, disponibles, tout comme Thomas et moi. Nous n’avons pas eu besoin de délibérer, nous avions tous envie d’essayer ce que nous ne connaissions pas. Baiser avec Aurélie m’a beaucoup plu, vraiment. Charlotte et Thomas s’en donnèrent à cœur-joie, pendant ce temps. Puis nous dormîmes un peu, entassés sur le tapis, mais des mains ou des bouches nous réveillaient à demi, parfois. Au petit jour, Aurélie sortit de la chambre, les yeux cernés. Elle me dit que les rois épousaient parfois des roturières, par les temps qui couraient, mais qu’il ne fallait sans doute pas trop y croire. Elle était satisfaite de sa nuit mais parfaitement disposée à continuer à vivre avec moi, du moment que je n’étais pas jaloux et que de temps à autre… Nous étions à peu de choses près sur la même longueur d’onde. Je n’avais pas cours cet après-midi, j’en ai profité pour rédiger ce qui précède. Quand Henri va-t-il donc se faire connaître ? Voilà ce qui importe aujourd’hui ! Je dois le voir lundi. Je ne manquerai pas de lui en parler. Lundi 24 janvier 2011 La conférence de presse de Laurel, ce matin, a été un festival de banalités. Et ces mimiques, cette bouche qui grimaçait sans arrêt, comme celle d’une vieille femme édentée ! J’ai déjeuné avec Henri. Je l’ai invité à foncer sans plus tarder, car le temps presse. Je lui ai dit que mon ...