1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (26)


    Datte: 24/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... petites querelles du passé oubliées, Patricia me fit part des craintes émises par ma tante. Inquiète, elle me conseilla de ne pas la brusquer et de rester attentionné à son égard. Je lui répondis qu’en effet, elle avait très mal vécu ce moment de vérité et que depuis, je me montrais fort compréhensif. Patricia, me sachant en manque de sexe ne put s’empêcher d’envisager un petit instant qu’elle qualifia d’amical avec moi, si d’aventure les craintes de Véro persistait, laquelle revint au bout d’une longue demi-heure. — Tu en as mis un de ces temps ! Lui lança Patricia sortant de la piscine. — Je sais, le temps de retrouver mon téléphone et d’appeler les garçons, ça était plus long que prévu ! Oh mais il est près de 19 heures et j’entends Paul arriver. — Alors changeons nous, c’est l’heure de l’apéro. Lança son amie en se couvrant d’un tee-shirt. — Je fais encore quelques longueurs pour me détendre et je vous rejoins. Rajoutai-je en reprenant mon crawl. Véro avait revêtu sa tenue vacancière, avec un short et un simple débardeur blanc ivoire très élégant. J’aperçus son soutien-gorge, presque inutile pour maintenir sa poitrine et personnellement, le fait de voir ses seins en liberté m’aurait paru plus judicieux. Détendue durant l’apéritif, elle partit dans des fous-rires incroyables lorsque je narrai quelques histoires du bureau rocambolesques, à l’ensemble de la table. Paul était au courant pour nous deux et quand les femmes furent en cuisine, il me donna uniquement son point ...
    ... de vue, omettant volontairement de parler de relation incestueuse. Il avait une vision foncièrement différente de sa femme, laquelle privilégiait le sexe avant tout au sein d’un couple. Au fur et à mesure qu’il m’exposa sa conception du couple, basée uniquement sur les sentiments, j’en conclus que Patricia n’avait pas tort. Avec un raisonnement purement platonique, elle devait en effet s’ennuyer ferme et à la fin, je ne l’écoutai que d’une oreille, tant ses propos s’assimilèrent à ceux d’un curé. Le diner se poursuivit et Patricia posa beaucoup de questions à Véronique, quant à notre séjour à Biarritz, notamment la différence d’âge entre des jeunes gens et une femme mûre. Elle ne se fit pas démonter, lui expliquant que lesdits jeunes gens l’avaient fort bien accueillie l’année dernière et bien intégrée en tant que copine de Patrick, puisqu’elle paraissait plus jeune, dixit son neveu. Une compétition s’instaura au gré du dîner entre elles. Patricia n’acceptant pas son âge, se montra jalouse de ma tante, d’autant plus qu’elle n’avait que 43 ans et qu’elle restait entourée de jeunes, contrairement à Patricia. Mais finalement, je constatai que son comportement n’avait été que légitime, au regard des propos de Paul, perdu dans une relation platonique, enfin plate, avec sa femme. En conclusion, Patricia s’emmerdait à mourir avec son mari. Chacun prit son café accompagné d’une cigarette, excepté Paul. Puis la maîtresse de maison nous offrit un digestif, mais nous ne fûmes plus que ...