1. Quel cul !


    Datte: 24/07/2019, Catégories: fh, inconnu, voisins, groscul, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, occasion,

    ... qu’il le disait à l’autre. — Tu suces divinement bien. J’adore lorsque tu tournes ta langue autour de mon gland… Sandrine en profita donc pour accentuer son jeu de langues tout en caressant mes couilles (fraîchement rasées). J’étais proche du point de non-retour, lorsque le téléphone de l’agence se mit à sonner. Après quelques hésitations, Sandrine arrêta sa pipe. — Excuse-moi, je pense que c’est mon chef ! Sandrine se précipita alors sur le téléphone. — Allo ?— Allo Sandrine, c’est Maman. Je ne te dérange pas ? L’agence n’est pas encore rouverte ?— Non, Maman, l’agence n’est pas rouverte, mais j’étais occupé avec le dossier d’un client. À la tournure que prenait la discussion avec sa mère, je compris vite que la « vieille dame » avait envie de parler avec sa fille et que la conversation risquait de durer. Sandrine s’installa d’ailleurs confortablement sur un des petits fauteuils en cuir. Je décidai alors de la surprendre moi aussi. Je me dirigeai vers le fauteuil où se trouvait Sandrine et me mis à quatre pattes à ses jambes. Ma tête se trouvait au niveau de ses cuisses et je pouvais admirer avec plaisir son porte-jarretelles et son tanga noir fendu. Je commençai à lui caresser les cuisses puis laissai remonter mes mains sur ses seins. Sandrine ne semblait pas à l’aise, gênée certainement de la conversation avec sa mère. — Non, Maman, je ne pourrai pas aller à la messe de commémoration du 11 novembre.— As-tu une bonne raison ? Tu sais que ton père est très à cheval sur la ...
    ... religion et les commémorations de ce genre… À l’évidence, la famille de Sandrine avait tout de la bonne famille catholique. Je décidai de continuer mes caresses coquines pour voir la réaction de Sandrine. Je repassai mes mains sous sa jupe et laissai mes doigts remonter jusqu’à son tanga. Je trouvai rapidement la fente du tanga et je constatai avec plaisir que la caresse que m’avait prodiguée Sandrine l’avait excitée. Le bord de la fente de son tanga était tout humide… Je décidai d’écarter légèrement la fente du tanga pour accéder à une autre fente bien plus intéressante. En commençant à caresser les lèvres de Sandrine, je sentis qu’elle était très, très sensible, mais peut-être cela était-il dû à sa toute récente « intervention médicale ». — Maman, il faut que je te laisse, j’ai un double appel. Je te rappelle. Sandrine raccrocha le téléphone et se rapprocha du bord du fauteuil. J’en profitai alors pour lui retirer son tanga et Sandrine m’encouragea dans la suite des événements en retirant son petit tee-shirt moulant et en me demandant aussi de lui retirer sa jupe. Sandrine se retrouvait donc simplement en porte-jarretelles noir, bas noirs et chaussures à talons aiguilles maintenues sur sa cheville par une fine lanière de cuir ornée de quelques faux diamants. Je la trouvai terriblement sexy, ce qui accentuait mon excitation. — La personne qui m’a percé m’a interdit tout rapport vaginal pendant une semaine. Il va te falloir utiliser mes autres trous ! En disant cela, Sandrine ...
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