1. Le déménagement


    Datte: 31/08/2017, Catégories: fhh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme fist, nopéné,

    ... nous lance-t-elle avant de repartir. Hugo me confie alors : — Tu comprends pourquoi ma femme ne veut plus d’elle à la maison ; elle a pas changé not’ Marie. Dans un grand sourire, je lui réponds : — Et t’as rien vu. À sa tête je vois bien qu’il ne comprend pas. Je lui raconte et il n’en revient pas.La salope… est la seule chose qu’il sait dire à ce moment. Marie revient, ce qui met fin à notre conversation. — Que disiez-vous ? interroge-t-elle.— Rien, on disait juste que t’avais un superbe kimono.— C’est Greg qui me l’a offert, mais comme il est pas là pour en profiter, à vous la primeur. Marie se met maintenant du côté d’Hugo. — Je me suis fait un petit cocktail, tant pis pour vous les gars, je vous laisse à votre bière. À ce moment, elle recommence le même manège que pour moi tout à l’heure, mais c’est à Hugo d’en profiter et il n’en perd pas une miette, vautré qu’il est dans le canapé, la vue directement à hauteur du sexe parfaitement épilé. Soudain, alors qu’elle se redresse, il la saisit par une manche et la bouscule sur le canapé. — T’as bien fait de mettre ton kimono, tu vois ce qu’il reste à un ancien ceinture marron, dit-il. Marie se retrouve entre nous, à moitié sur le canapé à moitié par terre. Tous deux sont hilares et commencent à chahuter comme des gamins. Dans l’action son kimono s’est largement ouvert et laisse apparaître une toison bien taillée. — T’es con, Hugo, merde ! J’ai failli renverser mon verre ! s’écrie Marie en lui donnant un coup de coude. Hugo ...
    ... lui saisit alors les deux poignets et la plaque sur le dossier du canapé. — Ah, tu veux jouer à ça, tu vas trouver ton maître alors ! Dans l’action le nœud qui ceinturait le kimono a lâché, les deux pans sont maintenant libres et Marie nous apparaît complètement nue. — À l’aide ! me lance-t-elle en rigolant. Elle se débat pour se libérer. Ce qui bien entendu a pour effet de balancer ses seins libérés. C’est alors que l’interphone sonne. — Merde, laisse-moi, Hugo. C’est les livreurs pour mon canapé ! T’es vraiment con, dans quel état j’vais les accueillir… Elle se lève, se réajuste un peu, indique au livreur le numéro et l’étage. Quelques secondes plus tard elle leur ouvre la porte et les deux types entrent avec leur encombrante livraison. — On vous le met où, ma p’tite madame ? demande le plus âgé. Marie leur indique la place qu’on a précédemment libérée. Se précipitant devant, elle se penche pour pousser sur le côté une petite table de salon. Le jeune livreur passe au rouge écarlate, non pas sous l’effort, mais par la vue que lui offre Marie. Le canapé installé, le jeune homme chuchote quelque chose qui donne un grand sourire au plus âgé et fait de nouveau rougir son comparse. — Bon, on s’rait bien resté mais il nous reste encore des livraisons à faire, au revoir messieurs, m’dame. Hugo et moi restons dans le salon. Pendant que Marie raccompagne les gars, j’épie ce qui va se passer pendant qu’Hugo se jette dans le nouveau canapé. Les deux livreurs ramassent les emballages ...
«1...345...»