1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°895)


    Datte: 25/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... d’Evans, on servi un foie gras maison, accompagné de pain de figue. Suivi ensuite d’une salade d’écrevisses sur un lit de saumon fumé par les soins de Marie la Cuisinière, lui-même posé sur un lit de mesclun très légèrement vinaigré. Venait ensuite un trou champenois, boule de sorbet citron arrosé de champagne. Cette petite pause digestive passée, un quasi de veau accompagné d’une Pomme Duchesse et d’une petite tomate à la provençale légèrement aillée et persillée. Le quasi était nappé d’une sauce crémée à laquelle s’ajoutaient quelques morilles fraîches. Le repas se terminait enfin par une tarte tâtin et sa boule de glace à la vanille. Le repas était simple, mais Marie La Cuisinière ne travaillaient que les meilleurs produits frais. On avait enfin posé les couverts. Alors que l’on servait digestif, café, thé ou bien encore champagne, les soumis et soumises s’égaillaient dans la salle. Monsieur le Marquis félicita Marie pour cette nouvelle prestation encore une fois sans accroc. Puis il se pencha à l’oreille de Dame Lætitia. Il lui murmura quelques mots. Cette dernière sourit et se leva, telle une lionne prête à traquer sa proie. Dame Lætitia marcha droit sur Myna. Comme d’un fait exprès, le pubis de la jeune esclave se trouvait à hauteur du visage de la favorite. Elle passa ses longs ongles parfaitement manucurés sur la peau de l’esclave. Par moment elle s’attardait sur les marbrures qu’avait laissées le fouet. Enfin elle passa ses doigts sur la fente humide de la jeune ...
    ... femme. Dame Lætitia avait vu le regard qu’elle portait à e64, elle en avait fait part à Sir Evans. L’ancienne esclave se tourna vers son Maître. Ce dernier lui sourit et l’encouragea d’un léger signe de tête. Dame Lætitia se mit donc en devoir de lécher le sexe de la jeune femme. Ses doigts entrèrent en elle. Allant et venant d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Sa langue fourrageait tout autour de son sexe, s’entremêlant entre les lèvres. Par moment, elle décalottait le clitoris de l’esclave, le suçotant, le léchant, le mordillant, le rendant de plus en plus sensible. Enfin lorsqu’elle sentit le souffle de Myna devenir erratique, lorsque les gémissements commencèrent à devenir audible et que les parois de son vagin se mirent à se contracter autour de ses doigts, Dame Lætitia se retira. Laissant l’esclave dans un état de pâmoison et de manque. Manque de ce désir qui était monté et dont on venait de la priver. Pendant toute cette scène, le Marquis d’Evans s’était tenu adossé à son siège, coudes posés sur les accoudoirs, ses doigts joints et repliés devant sa bouche, dissimulant à peine le sourire de satisfaction qu’il arborait. Ses deux esclaves avaient offerts à ses invités un merveilleux spectacle très érotique. Monsieur David s’était levé, et était sur le point de se retirer, furieux et jaloux que ces deux femelles attirent autant l’attention de son Amour. Sir d’Evans, à qui rien n’échappait et qui connaissait parfaitement son compagnon, fit un geste et Dame Lætitia ...