1. Médecin de campagne


    Datte: 26/07/2019, Catégories: fhh, grp, cocus, médical, fête, fsoumise, massage, Oral préservati, fsodo, hsodo, Partouze / Groupe attache, exercice,

    ... jute dans ma capote, tellement excité par ce que je sens mais aussi par le regard de Ludivine, si attentive à ce qui se passe près d’elle. N’a-t-elle jamais vu un homme se faire enculer ? N’a-t-elle jamais vue une femme chevaucher ? Peut-être ; en tout cas elle n’en perd pas une miette. Laure me laisse. J’ai maintenant la vision parfaite de son mari qui m’encule, soulevant mes jambes comme il a soulevé celles de Ludivine, pour me posséder encore plus profond. Je voudrais que cela ne cesse jamais. Je retrouve des souvenirs de jeunesse, des souvenirs d’avant, des sensations oubliées et pourtant si agréables. Pourquoi avais-je caché cette part de ma sexualité au plus profond de moi ? C’est si bon. C’est si bon de se faire prendre. Je jouis. Une jouissance intérieure. Je sens aussi ma queue qui reprend déjà forme. D’ailleurs Thomas s’en empare et me branle. Il crache dans ses mains pour les rendre encore plus soyeuses. Je ne pense plus. Je ne suis qu’une chose. On me baise. Je ferme les yeux. Cela dure, dure. Je vais cracher mon jus. Thomas va me vider les couilles. Des lèvres viennent en réceptacle. C’est Ludivine que le couple à dû faire approcher. Il arrache sa capote. Je jouis. Sa sauce arrose la tête du Ludivine. On baigne dans le foutre. C’est bon. C’est pervers. C’est vicieux. Mais que c’est bon ! Les invités sont partis. Même l’homme seul est parti, me faisant douter qu’il soit le mari de Ludivine. Elle est encore là, à côté de Thomas, maculée de sperme. Déesse vivante ...
    ... de l’amour. Je n’ai jamais entendu le son de sa voix si ce n’est des gémissements et des petits cris. Laure m’accompagne à la porte. Il n’est pas nécessaire de dire combien j’ai apprécié sa soirée. Un "merci" en dit assez, complété par un" je vais voir pour ma femme…" qui la fait sourire. C’est vrai que je suis ridicule de ne pas vouloir, au moins, essayer. Je ne sais pas encore comment je vais aborder le sujet. Ce n’est pas si simple. Je retrouve ma voiture. Les autres sont parties. Ne restent que trois véhicules, ceux de mes hôtes. Pourtant, une me paraît familière. Vieille Mini comme ma femme aime. D’ailleurs, on dirait la sienne. Mais c’est la sienne, le 3523 .. 92, vieille plaque du temps où nous habitions les Hauts-de-Seine ! Comment est-ce possible ? Mon sang ne fait qu’un tour. Je fais marche arrière, bondis, mais décide de ne pas faire d’esclandre et entrer comme un mari jaloux. Et si elle avait laissé sa voiture la dernière fois qu’elle est venue ? Mais oui, c’est cela. Pourtant je ne sonne pas. Il me suffit d’ouvrir la porte pas encore fermée à clé. J’avance dans l’entrée, le couloir. La porte du salon est encore ouverte. J’entends des gémissements, des cris de plaisir. Ils sont infatigables. Je jette un œil et le ciel me tombe sur la tête. Marie est là, et bien là. Les masques sont tombés. Le sien git à terre. Ainsi cette Ludivine, celle que je croyais la femme de l’homme seul, est en réalité la mienne. Cette femme qui s’est laissé dominer, baiser, enculer, qui a ...