1. NCIS Règle n° 1 (3)


    Datte: 26/07/2019, Catégories: Divers,

    ... Je retiens un gémissement de pur désir, et mon jean est soudain trop étroit de deux ou trois tailles, tellement que ça devient douloureux. ALICIA Je sens contre monpubis une excroissance de la taille du cuirassé Potemkine. C’est pas vrai... j’ai trop envie de lui faire tout plein de choses, de le recevoir dans mes orifices. Enfin, s’il arrive à entrer sans péridurale, je ne suis pas maso ! Il pétrit mes fesses, le salaud ; il a même inséré des doigts sous mon string et les a plongés dans mon intimité. C’est pas vrai, je sens monter un orgasme par vagues depuis mon bas-ventre liquide. Il doit y avoir une méga-flaque sur le carrelage ; il va falloir faire venir les pompiers pour sauver les studios. Puis je jouis en criant, me détachant des lèvres de Rory et m’arquant, les yeux révulsés. Je reprends mon souffle lentement avant de porter à nouveau mon attention sur le bad boy. — Merci ; ça faisait longtemps. — Même pas toute seule, sous la couette ? — Si, bien sûr, mais ça ne compte pas. Pas vraiment. Là, c’était bien mieux. Allez, pose-moi, je meurs d’envie de m’occuper de toi... Je me suis agenouillée entre ses jambes et j’ai ouvert son jean ; cette fois, instruite par l’expérience, je me suis reculée assez pour ne pas me prendre un coup de matraque dans le nez. J’ai bien fait, parce que son engin est encore plus imposant que dans mon souvenir ; il se dresse en oscillant, vivant obélisque, hymne à la virilité. Je m’en lèche les babines par anticipation. Ma vieille, tu as ...
    ... intérêt à assurer : la réputation des Riverside est en jeu ! Je souffle sur la hampe veinée, sur les lourds testicules à peine masqués par une courte toison sombre ; ravie d’entendre Rory jurer entre ses dents, je passe le bout de la langue sur son méat et cueille une goutte de liquide iodé. Il est à point, je vous le dis ! Sans plus attendre – j’en ai trop envie –, je gobe le gland. Gonflé à bloc, il emplit bien ma bouche. Sacrément bien plus que ceux de mes précédents amants. Pas si nombreux que ça, comme je l’ai expliqué, mais quand même, j’ai un vécu. Et cette bite-là, elle me plaît beaucoup, elle m’inspire. Tiens, DiNozzo, si c’était un homo refoulé ? Il fait chier McGee parce qu’il est attiré par lui ; je pourrais placer une scène où il se fait draguer par un Village People ? Et voilà que j’en oublie mon coscénariste qui proteste. Ça va pas, mon lapin ? Allez hop, j’avale sa grosse carotte en déglutissant comme une pro, jusqu’au moment où mes lèvres touchent le pubis. Bon, là je suis en apnée et me la joue « Le Grand Bleu » jusqu’à ce que je doive remonter à la surface pour respirer. En reprenant mon souffle, j’ai le plaisir de voir que Rory est salement atteint. Ses mains sont crispées sur le bureau contre lequel il s’appuie, la bouche arrondie. Ses yeux me supplient de continuer ; comme je suis une bonne fille, j’obtempère et engloutis son Zeppelin. En tout cas, il n’est pas gonflé à l’hélium car il éjacule de longues rasades de semence direct dans ma gorge. Putain, il fait ...