Ma tante et sa fille complotent contre moi (3) - Histoires de Sexe

Ma tante et sa fille complotent contre moi (3)

... sa bouche qui était sensuelle - peut être avait elle injectée un peu de botox là-dedans. Le résultat était, en tout cas, très sexy. Bref, Camille était là en train de sucer, de lécher, de gober, de malaxer, de masser, de renifler, et de soupeser mes couilles avec sa langue, ses lèvres et son nez. Cette étape dura facilement 1 minute 30. Elle était très professionnelle, très concentrée, mais surtout déterminée à gagner ! Elle fit une première proposition : — Martin ?! Comme prévu par le règlement, je claquai deux fois dans mes mains. Cela signifiait "Non" - alors qu’un seul claquement signifiait "Oui", vous l’aurez compris. Camille nous expliquera plus tard qu’elle avait cru reconnaître les couilles de Martin qu’elle avait eu a sucer le mois dernier, en finale de la première édition. Qu’a cela ne tienne, Camille, plus déterminée que jamais, laissa le bout de sa langue glisser de la base de mon sexe jusqu’au sommet de mon gland, où elle eu l’opportunité (en bonus!) de goûter à mon liquide pré-séminal. Par cette manœuvre, elle essayait de mesurer la taille de mon sexe. En arrivant au bout, elle donna un doux baiser à mon gland avant de dire, de sa voix la plus sensuelle : — Non, effectivement, ce n’est pas Martin... Il y a bien 10 cm de bite en plus ici ! Quelques ricanements fusèrent, alors que Camille avalait d’un coup ma queue, en essayant de l’enfoncer loin dans sa gorge, pour mesurer un peu plus précisément cette longue tige. J’étais aux anges. Évidemment, elle ne réussit ...

... à enfoncer qu’une quinzaine de centimètres, étant donné le diamètre de ma queue, mais sa bouche chaude débordait d’une bave épaisse et lubrifiante, qui rendait les assauts appuyés de sa langue terriblement efficaces ! Seulement 2 minutes d’écoulées, et je sentais déjà que j’allais être éliminé. Cette Camille, cette fille que je ne connaissais pas ce matin même alors que je baisais sensuellement ma tante à l’étage même, allait être étouffée par une inondation desemence... Mais Camille ne pouvait se permettre ça ! Car si elle me faisait jouir, elle allait se retrouver en rattrapages, puisqu’elle n’aura pas obtenu le point en me reconnaissant. Leur jeu était très sophistiqué et pensé intelligemment. Elle se calma donc. La moitié du temps était écoulée. Elle en était maintenant à faire glisser ses succulentes lèvres, brillantes à cause de la bave qui coulait sur son menton - et initiant sa descente vers son cou... Tôt ou tard, un filet de bave gluant arriverait entre ses seins... - autour de mon gland, pour en comprendre l’architecture, le volume, sa texture, son odeur... — Ce gland est vraiment gros... Gros comme ta tête Jérémy ! C’est toi, Jérémy ! Double claquement de main. — Maisputain ! grogna Camille. Elle tenta une dernière manœuvre, car le temps touchait à sa fin. Elle fit glisser ma bite sous son menton et vint lécher mespoils pubiens. Le renifla. L’odeur devait être forte et amer, mais ça ne semblait pas la déranger, on voyait tous à quel point elle était déterminée. — ...