Ma bien-aimée
Datte: 23/06/2017,
Catégories:
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
nopéné,
hsoumisaf,
... poser des questions avant de succomber au sommeil. Le lendemain matin elle ne dit rien et nous allâmes chacun à notre travail. Le soir elle rentra tard, vers 22 h, ce qui ne lui était jamais arrivé. — Tu étais où ? J’étais inquiet.— Je t’en pose des questions, moi ? J’avais à faire.— À faire quoi ?— J’étais chez Irène, on a discuté et je crois que finalement je vais aller habiter chez elle.— Mais on avait dit que…— Oui je sais, mais je ne te sens pas suffisamment motivé pour m’avoir près de toi.— Mais je le suis, ma chérie, je te promets. Elle réfléchit encore puis me regarda droit dans les yeux. — Tu veux vraiment que je reste ici avec toi, tu le désires vraiment ?— Oui.— Tu es prêt à faire ce qu’il faut pour ça, à me donner des preuves de ta bonne volonté ?— Oui.— Bon, je vais te tester ! Elle avait pris un ton autoritaire, agacé, presque agressif. Elle se leva, souleva sa jupe et enleva sa culotte, elle se rassit et écarta les jambes. — Viens ici, mets-toi à genoux et suce ! Sans dire un mot je m’exécutai à nouveau, je n’avais jamais connu pareille situation, j’étais rouge de honte et pourtant je bandais comme un âne… Cette fois-là ce fut plus rapide et lorsqu’elle fut assouvie elle s’étendit sur le canapé puis alluma une cigarette. Expirant un long filet de fumée elle me parla doucement. — Tu as dîné ?— Oui, je me suis fait une omelette.— C’est une bonne idée ça, tu vas m’en préparer une et tu m’apporteras une bonne bouteille de vin rouge. Une fois de plus je fis ce ...
... qu’elle me demandait sans vraiment savoir pourquoi j’acceptais une pareille situation. C’est vrai que je tenais à elle, mais je trouvais sa manière d’agir exagérée et humiliante pour moi. J’étais un homme entreprenant et dynamique dans mon travail et dans la vie, j’avais connu pas mal de femmes et c’était toujours moi qui décidais de tout. Comment cette femme, même pas vraiment belle, pouvait-elle se permettre d’agir comme si j’étais son larbin ? — Tu sais, Alice, je veux te faire plaisir, je ne veux pas que tu me quittes mais je crois que dans un couple les concessions doivent se faire à deux. On peut faire un deal si tu veux. Jusqu’à présent on vivait l’un à côté de l’autre, désormais on vivra ensemble on sera plus attentif l’un à l’autre, on essaiera de… Elle me coupa net la parole. — Stop ! Arrête ton blablabla convenu ! Tu t’attends à quoi ? Que je te réponde : « Tu as raison, mon chéri, nous allons nous occuper l’un de l’autre et nous serons heureux » ? Elle éclata de rire. — Et puis ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants.— Mais…— Le problème c’est que ça, j’en ai pas envie, pas avec toi du moins, je ne t’aime pas assez pour ça. J’ai eu le temps de t’observer et de t’analyser. Ton comportement, ta façon de vivre, tes rapports avec les gens, tout ça n’est qu’une façade.— Comment tu me parles…— En vérité tu n’es pas un vrai mec, malgré les apparences tu es une tapette qui a besoin d’être dirigée. Tu as l’âme d’un soumis. Alors ton choix est simple, je vais te donner ...