Mary K.
Datte: 27/07/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
extracon,
inconnu,
hotel,
noculotte,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
amourpass,
extraconj,
... Elle aussi me raconte des moments tragiques ou magiques de sa courte existence. Nous nous aimons, nous le disons sans honte, sans se soucier du lendemain. Nos portables ont sonné, nous les avons éteints sans regarder qui avait appelé. Nous décidons de ne pas sortir au sauna ou au hammam, nous commandons même le repas dans la chambre pour mieux profiter. Le dîner avalé, nous passons le petit carton sur la poignée côté couloir et nous installons confortablement dans la grande baignoire d’angle que l’eau commence doucement à remplir. Nous passeront deux heures à nous laver et nous embrasser. C’est dans ce lieu propice aux confidences qu’elle me conte son initiation érotique. En fait, Rémi n’est que son troisième amant et ce, depuis tout juste un mois, le premier a été un petit con avec qui elle est sortie à dix-sept ans et qui l’a dépucelée à la va-vite. Entre les deux, il y a eu un cousin éloigné qui lui a appris à connaître son corps durant le mois de vacances qu’elle a passé chez lui. Il était avec femme et enfant mais cela ne la pas empêché de faire des cours particuliers. — Je te raconterai tout en détails, dit-elle le visage rosissant, je n’ai pas honte mais je ne veux pas dévoiler tous mes petits secrets. Tu en sais déjà plus que tous les gens que je connais. Je n’insiste pas, je lui laisse les clefs de son jardin, je suis déjà touché par ses confidences. Après nous être séchés, nous allons nous endormir dans les bras l’un de l’autre, au milieu de l’immense lit. ...
... oooOOOooo Comme à mon habitude, je me lève relativement tôt, surtout que nous avons papoté jusqu’à quatre heures du matin. J’allume mon téléphone portable assis sur le trône et écoute mes messages. Le seul qui me touche est celui de Sandrine qui ne s’étonne pas plus que ça que je ne réponde pas, elle sait que j’ai tendance à oublier de recharger la batterie, ajouté à cela mon aversion des conversations téléphoniques. Elle termine par un : — Profite bien de ton week-end, je t’aime. Je suis chamboulé par ma trahison, j’éteins le téléphone et pars sous la douche. Les yeux fermés, je laisse couler l’eau sur ma tête et je ne sens pas arrivée ma douce maîtresse qui vient se coller face à moi. Sa bouche près de l’oreille, elle me calme de paroles apaisantes, elle comprend ma contrariété suite à la vision du cellulaire posé à côté de la vasque. Sa voix est lointaine et je ne réponds pas lorsqu’elle me parle de ma femme, de mes enfants et de l’amour que je leur porte. J’ai l’impression d’avoir la tête dans du coton, je dissimule ma vraie vie car celle, éphémère, que j’entretiens avec Mary est celle qui me convient à cet instant. Je suis dans un rêve, accompagné d’une naïade belle et torride, j’espère ne jamais devoir quitter ce songe. Mes mains sont toujours derrière ma nuque et je n’ose pas prendre dans mes bras celle qui m’enlace, celle qui me tient dans ses adorables griffes vernies. La bouche qui parlait s’est tue et descend sur mon torse. La langue agace mes tétons, court sur mon ventre ...