ANNE se libère (1)
Datte: 27/07/2019,
Catégories:
Lesbienne
ANNE se libère (1er volet)1. Je suis Anne35 ans pseudo divorcée, sans enfant, 1,67 m, 59 kg, blonde et bronzée, je suis esthéticienne…Mon fantasme est né il y a trois ans. J’étais mariée à l’époque, à Vincent depuis 7 ans. Ingénieur, à l’aise financièrement, nous menions une vie plutôt enviable, vue de l’extérieur. Petite ville de province, maison indépendante, un peu de terrain que mes parents m’avaient laissé. Amoureux ? Certes pendant 5 ans sans aucun doute, après avec des doutes… Eh oui…Bref, je ne suis pas sainte Nitouche et dans mon métier les occasions ne manquent pas lorsqu’on est du matin au soir avec des clientes, de tous âges, de tous poils, et de toutes beautés parfois… Il faut dire que les langues se délient sous les massages, sous les jets, et la confiance arrive très vite lorsque les soins deviennent intimes.Elles n’aiment pas le changement et se font un devoir d’être fidèles à « leur » esthéticienne…De plus, beaucoup d’hommes viennent se mettre à nu devant moi, ce que j’apprécie fortement, mais ne consomme pas, étant du genre sage, j’appartiens à mon mari….J’assume…Ma vie sexuelle à moi, bof, comme tant d’autres je suppose. Très dense au début, parfois trop… Mais j’aime mon mari, et j’acceptais ses variantes…Jusque-là, j’avais été une épouse modèle sur ce plan, c’était souvent plusieurs fois par jour, puis 4/5 fois par semaine, puis surtout le week-end, du vendredi soir au dimanche… Disons que nous faisions l’amour tendrement, avec amour, puis avec de plus en ...
... plus d’innovations sur les lieux, sur les positions. Internet nous avait apporté quelques nouveautés que nous avions testées. Les films des chaînes payantes ont ouvert notre esprit. Nos amies, mes clientes parlaient beaucoup de liberté, d’ouverture, de pluriel, de partage… Mais nous restions dans la relation de couple, enfin pour moi... Sauf… Mais j’en parlerai plus tard.Il m’avait ainsi étrennée en montagne, je l’avais aimé nue sur la plage, la voiture ce fut au début, étudiants, l’hôtel était cher… Il me prenait parfois dans la cave de chez mes parents, on le refaisait parfois quand on y retournait aux vacances… Je l’avais fait jouir en voiture, sur l’autoroute, là il me caressait à la limite du supportable, alors on s’arrêtait et on se finissait dans la nature, certaines fois limite public…Au restaurant sous la table, oui, caresses et jouissances, on raffolait des recoins mal-éclairés…Sous les porches des immeubles, dans les bâtiments communaux, mairie, école, piscine, il avait ses accès étant pompier au début… cela nous faisait rire, on s’aimait.Passées les premières années de mariage, je me mis à fantasmer. Des clientes célibataires me racontaient leurs week-ends, les femmes mariées se lâchaient sur leurs exploits extra-conjugaux… J’écoutais leurs histoires, au début je doutais…Peu à peu, la mode changea. Ces mêmes femmes me demandèrent de les épiler. Parfois pour une surprise lors d’un anniversaire de leur mari, ou compagnon. Puis ce fut de plus en plus demandé, je me ...