Nicolas (1)
Datte: 28/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... mon chapeau et saisis le tube qui m’est tendu. Elle s’allonge, le ventre sur son transat orienté pour prendre le soleil. Je m’installe à coté et commence ma tâche sur le corps déshabillé de ma mère que je découvre ainsi pour la première fois. Alors que je commence intimidé, elle ajoute sans lever la tête : — Vas-y, t’en mets une bonne couche sur le dos et les fesses ! Fort de cette dernière recommandation, je me mets consciencieusement au travail découvrant la douceur et la fermeté de sa peau. Cette soudaine proximité d’un corps féminin me trouble, je sens mon sexe qui se réveille, ce qui me gène d’autant plus que c’est ma mère et que plus rien ne me cache. J’essaie de me concentrer, j’en suis maintenant aux fesses, ces formes bien rondes et cette plasticité augmentent encore mon trouble, je bande en massant ma mère, j’en suis mal à l’aise… si elle le voyait. J’ai bientôt enduit toutes les parties cachées par le fameux maillot, d’ailleurs pas si blanches que cela ! C’est à ce moment qu’elle réagit : — C’est bien mon chéri, tes mains sont très douces, c’est très agréable : si tu veux bien, fais-moi l’autre face ! Et sans plus de formalités elle se retourne me dévoilant les derniers mystères de son corps. Mon sexe marque le coup en pointant vers le ciel dilaté à m’en faire mal. J’en suis rouge jusqu’aux oreilles. Et pour en rajouter à mon trouble elle souligne ma gêne en s’esclaffant malicieusement : — Ca fait plaisir, je vois que je fais encore de l’effet à un homme ! Cela ...
... ne semble pas la choquer plus que ça que l’homme en question soit son fils. Puis elle ajoute comme pour me calmer : — …Tu me finis, la poitrine, le ventre, puis après si tu veux bien, je t’en fais autant ! Et elle ferme les yeux, s’abandonnant en confiance à ma pratique. C’est la première fois que je suis ainsi confronté à la nudité maternelle. Je m’attaque à ses seins, fermes et pas spécialement volumineux mais avec des gros bouts qui pointent, puis je descends sur le thorax, puis le ventre. Son sexe est complètement imberbe et elle flaire mon hésitation : — Enduis-moi le pubis, c’est une idée de mon esthéticienne de m’épiler complètement le ventre : ce qui doit faire une zone très sensible au soleil ! J’enduis le pubis maternel me gardant bien de suivre le détail des reliefs avec mon doigt. Elle ne me laisse guère le temps de contempler mon œuvre car elle se relève en me prenant le tube de crème et m’ordonne : — Allonges-toi, c’est ton tour ! En suivant son exemple je me place le ventre sur mon transat, ce qui me permet de cacher mon sexe maintenant vraiment encombrant. Mais à ma différence elle se place à genoux, à cheval sur moi. Je sens la peau fraiche de ses jambes se glisser de chaque coté. Elle étale la crème gaillardement à grand mouvements symétriques des deux mains. Elle se recule en suivant la progression du badigeonnage pour finir par les fesses puis les cuisses plus blanches que les siennes malgré les quelques poils. Ensuite elle me demande de me retourner et ...