Tante Gisèle, maman, et les autres... (19) - Histoires de Sexe

Tante Gisèle, maman, et les autres... (19)

... du cul de sa mère qui geint. — Putain ! Je ne risque pas d’oublier que mon fils à une très grosse bite ! Tu me défonces le cul Dany ! Mais j’adore la sentir s’enfoncer dans mes entrailles, C’est comme ça que je la sens le mieux ! Florence est estomaquée de voir avec quelle facilité Diane absorbe dans son cul une bite de cette taille ! Elle doit sûrement avoir l’habitude de se faire baiser par-là ! Elle n’aurait jamais cru que sa tante soit aussi portée sur le sexe ! Une vraie salope ! Comme sa mère ! Dany commence à baiser le cul de sa mère sur un rythme lent et puis il augmente la vitesse de ses allers-retours pour être en harmonie avec la tonalité des gémissements de Diane. Florence constate qu’elle crie beaucoup plus avec une bite dans le cul que dans la chatte et qu’elle ne pense plus ou ne se préoccupe plus de la présence de sa nièce dans la maison. Avec un long cri de chatte en chaleur Diane a de nouveau un bel orgasme et contracte ses fesses sur la bite de son fils qui, lui aussi jouit dans son cul en grognant de plaisir. Ils s’écroulent tous les deux sur le lit pour finir de jouir en cœur et attendre que leur orgasme s’atténue. Dany reste un bon moment dans son trou du cul pendant qu’ils reprennent leur respiration sans pour autant cesser de caresser son corps avec amour. Dany retire très lentement sa bite du trou du cul de sa mère et regarde avec un plaisir évident son sperme qui ressort du trou béant pour couler sur sa chatte et la face interne de ses cuisses. ...

... Florence retire ses doigts de sa chatte et s’éloigne en pensant qu’elle n’a pas été vue. Dans la chambre, Diane regarde son fils amoureusement et murmure. — Ta cousine a assisté à nos ébats incestueux. J’ai même vu dans le miroir de l’armoire qu’elle s’est fait jouir avec ses doigts dans sa chatte. — C’est parfait, maman. On n’aurait pas pu se cacher très longtemps. Mais je me demande comment elle va se comporter demain ? Le lendemain matin, ma cousine Florence ne fait aucune allusion sur le spectacle qui l’a si bien émoustillée hier soir, mais je vois bien aux regards qu’elle a envers nous qu’elle nous observe et réfléchit sûrement sur la façon qu’elle doit aborder le sujet. Après le déjeuner nous passons au salon et maman nous dit. — Je vais vous faire goûter une liqueur qui vient des indes. Florence s’assied dans le canapé et maman nous sert une liqueur ambrée. — Les Indous disent qu’elle a des vertus aphrodisiaques en attisant la libido féminine. Dit ma chère maman en tendant le verre à Florence qui rougit légèrement en goûtant à la liqueur. — C’est délicieux, répond ma cousine qui sent la liqueur couler dans sa gorge et rapidement échauffer son corps. Lorsqu’elle a fini de vider le petit verre à liqueur, maman lui en redonne encore malgré son refus et je ne tarde pas à constater que ma cousine florence n’est plus dans son état normal. Ma mère me fait signe de la rejoindre sur le canapé et je l’attire contre moi en la prenant par ses épaules. — Alors Flo… On n’est pas bien en ...