1. Vacances en italie (3)


    Datte: 29/07/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Après une bonne nuit de sommeil j’ouvre les yeux, et le hasard joue en ma faveur, Sophie est déjà debout. Après un bref passage à la salle de bain, je descends à la cuisine et la trouve en train de boire son café. Je me glisse derrière elle, enroule mes mains autour de son ventre et commence à l’embrasser dans le cou afin de lui dire bonjour. Comme la veille, ma main remonte sur sa poitrine que je commence à pétrir l’un de ses magnifiques seins. — Mais tu es fou ! Quelqu’un pourrait arriver. — Ça m’étonnerait ils dorment encore, je viens d’entendre Sylvain ronfler de l’autre côté de la porte. Mentis-je pour la rassurer — Si tu penses qu’on va faire l’amour tu rêves. Dit-elle entre deux gémissements alors que ma main venait de se glisser sous son pyjama. C’est maintenant mes deux mains qui s’occupaient de sa poitrine, malaxant ses deux globes de chaires ou en faisant rouler ses mamelons entre mes doigts. — Tu en es sûre ? Dis-je entre deux baisers dans son cou. — Sûre et certaine ! Objectiva-t-elle en voulant opposer une résistance que nous savions tous — Et juste une gâterie vite fait ? — Mais qu’est-ce qui t’arrive au juste ? On dirait un adolescent en rut ! — Disons simple que notre petite aventure de cette nuit a cruellement manqué de pipe. — Ce n’est pas une raison ! Tu imagines s’ils venaient à se lever ? — S’il te plaît ! La suppliais-je tout en dirigeant doucement sa main vers mon sexe que j’avais discrètement sorti de mon pantalon. Alors qu’elle refusait à nouveau ...
    ... mes avances, elle ne retira pas sa main. Bien au contraire, je sentais la peau ma hampe commencer à se redresser doucement dans un doux va-et-vient enivrant. Pendant ce temps-là, mes doigts avaient retrouvé les chemins de ses tétons que je caressais par-dessus son peignoir. Je sens qu’elle est nue sous ce dernier ce qui m’étonne. — Eh bien ma chérie, tu t’es crue à la maison ? Jamais je n’aurais pensé que tu pourrais déambuler dans la maison dans une telle tenue. Moi qui étais excité, je le suis d’autant plus. — Je vous signale jeune homme qu’avant de venir faire ce qui s’apparente plus à un harcèlement sexuel qu’à un “Bonjour ma chérie, tu as bien dormi ?”, j’étais simplement descendue boire un café vite fait, pendant que tout le monde dormait, avant d’aller prendre ma douche ! — Seulement entre-temps, ton beau gosse de petit-ami a débarqué te suppliant de lui faire une pipe que tu as acceptée. Sa masturbation était de plus en plus appuyée, la cadence s’accélérait également. — Tu fais chier, qu’est-ce qui m’a donc pris de sortir avec un obsédé ? — Si je n’avais pas été un obsédé, la petite coquine que tu es se serait bien vite ennuyée. — Tu m’énerves, dit-elle, alors qu’elle se levait de son tabouret pour s’agenouiller devant moi. Au passage, je tirais sur la cordelière de son peignoir permettant à celui-ci de s’ouvrir. Elle me jeta un regard réprobateur mais cela n’alla pas plus loin, elle m’avait juste fait des grands yeux, plus pour la forme qu’autre chose. Elle avait le ...
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