1. Mes chaudes soirées en déplacement (3)


    Datte: 29/07/2019, Catégories: Gay

    ... me dilate. Je voudrais hurler de douleur, surtout de bonheur, mais la bite d’Adrien dans ma bouche m’en empêche, pour ne pas alerter le voisinage. Quand c’est à son tour de se faire mettre par notre femelle de rêve, c’est moi qui le prend en gorge profonde pour le faire taire. Roxane semble apprécier aussi nos pénétrations, même si j’ai dans l’idée qu’elle doit être habituée à de plus gros calibres. On s’enfile, on se montent comme des chiens, on se fait des brochettes à trois, durant deux heures de temps. On fatigue et on décide de conclure. Je jouis dans le cul d’Adrien, il jouit ensuite dans celui de Roxane, et elle termine en inondant mes reins. On se refait un 69 triangulaire pour se nettoyer la bite et le cul, dévorer du foutre autre que le notre. Il est vingt-trois heures, et mes deux partenaires s’en vont. On ne reverra plus Roxane, elle est malheureusement prise les jours suivants, mais on prévoit de se revoir au sex-shop dès le lendemain avec Adrien. J’ai passé un moment merveilleux, et je reprends doucement mes esprits en caressant ma bite molle, et en doigtant mon trou encore affamé. J’ai envie d’une queue, j’ai retenu le numéro de chambre du mec du restaurant, et je l’appelle: — Bonsoir, on s’est rencontré tout à l’heure, j’étais à côté de toi pour le café. Ca te dit toujours de baiser? — Ah, vous avez changé d’avis! — Pour tout de dire, je suis tout seul, mes copains sont partis. — Et il n’ont pas réussi à te satisfaire? — Non, j’ai encore envie, je veux un mâle ...
    ... dominant. — Salope, dès que je t’ai vu j’ai su que tu étais une cochonne. Tu aimes les grosses queues? — Oui, et aussi les grosses couilles bien pleines. — Tu me fais bander sale pute; tu viens où je te rejoins? — Non, c’est toi qui viens, je suis toute nue, le cul ouvert, je t’attends. — Ok, tu es à quelle chambre? — La 317, la porte sera ouverte. — Prépare toi, j’arrive. Moins de cinq minutes, et il est là. Je suis à quatre pattes sur le lit, j’écarte mes fesses, je l’attends, je l’espère. Deux minutes de silence, et je reçois une énorme baffe sur le cul: — Tourne toi salope, et suce moi. J’obéis docilement, et me trouve face à lui. Il est à poil, son sexe dressé, un phallus magistral qui me fait saliver. Je le prends en bouche, et m’applique à le pomper de tout mon savoir faire. Il semble apprécier mes services, me traite de tous les noms, avant de m’annoncer qu’il va jouir. Je ma recule: — Oh non, pas déjà, tu ne m’as même pas baisé. — Ferme ta gueule, salope, et suce. Je vais éjaculer, mais ne t’inquiète pas, je ne vais pas débander. Je vais t’enculer ma cochonne, je vais te défoncer le cul. Je n’ai pas le temps de répondre, qu’il m’a saisit par les cheveux et a enfoui son sceptre jusque dans ma gorge. Il me baise la gueule, se sert de ma bouche comme il se servirait d’un cul ou d’une choune, me lime profond, décharge abondamment. Il se retire, m’ordonne de me retourner. Je suis en place, offert, et je serre les dents pour ne pas crier lorsque son manche s’enfonce entre ...