1. Changement de rôle !


    Datte: 29/07/2019, Catégories: fh, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, Collègues / Travail vacances, fsoumise, miroir, BDSM / Fétichisme 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession,

    ... crois qu’elles se font un point d’honneur de ne pas jouir de leurs clients.— Euh ! Je…— Mais cela ne me gêne pourtant pas. Mais je préfère encore… Coquine… Gourmande… Délurée… Voire Cochonne… Mieux encore Salope qui montre que je suis de niveaux…— Maryse ! Maryse ! Je vous en prie. J’ai été maladroite. Je n’aurais pas dû. Mais je vous promets que je ne voulais pas vous juger. C’est juste avec mon mari…— Un mari qui offre de la lingerie coquine à sa femme ne la considère pas comme une pute.— Non ! Non ! Pardon ! Pardon ! Votre vie privée ne me regarde pas. Alors pour détendre l’atmosphère c’est moi qui dis : — Mais si vous voulez faire une surprise à votre mari, faites votre choix. Elle sourit. — Il ferait une attaque !— Ou pas… Mais attendez, je vais vous trouver quelque chose de plus seyant. Sa remarque demande une petite vengeance. Je lui propose comme convenu un slip, pas de soutien-gorge sous le prétexte qu’elle doit faire au moins deux bonnets de plus, une chemise de nuit transparente et une robe qui, sans être indécente, la moule et ne va pas plus bas que mi-cuisse. Elle ne proteste pas, d’autant que je fais passer la pilule en lui annonçant qu’ils pourront récupérer leurs affaires demain. La tête du mari lorsqu’il voit sa femme ainsi ! Et il n’a pas encore vu la nuisette ! Le pire, c’est que cela lui va bien. À son âge elle a encore un beau corps, de belles formes et sa poitrine opulente ne se maintient pas si mal. La soirée se passe normalement. François, le mari, ...
    ... est tout en rondeur, prévenant, sachant nous remercier. Elle, n’est finalement pas désagréable. ********** Le lendemain, Éloïse reste chez nous pendant que son mari va chercher leurs affaires. Il fait un froid de gueux. Elle retrouve ses valises. Elle redevient celle que je percevais : bourgeoise friquée et habillée par de grandes marques. Ils décident d’aller se promener l’après-midi. Lorsqu’ils rentrent, la neige commence à tomber. Dans notre salon, la cheminée attire les regards. Elle est grande, un peu à l’ancienne, et les bûches crépitent comme dans les contes. Le couple revient chargé de cadeaux. C’est leur façon à eux de nous remercier. Pendant qu’Éloïse va se refaire une beauté, son mari nous aide à tout déballer. Je ne sais pas comment ils ont fait pour trouver cela dans notre ville. Manifestement, nous n’avons pas les mêmes fournisseurs. Mais on ne va pas faire les « bégueules » devant les deux flacons de vodka, conservés dans des poches de glace, qui d’après Marc valent un « bras et deux jambes », le saumon fumé, les amuse-gueules et ce machin noir qu’on appelle caviar. Ouf, caviar de France ! Restons Français. Éloïse revient, très élégante, chargée de bijoux. Boucles d’oreilles, collier, bague. Je reconnais que cela fait envie. Pour le reste, elle a retrouvé ses robes de bourgeoise. Cela lui va bien. Elle a de la classe, mais lorsque je croise le regard de François, j’ai, je ne sais pourquoi, l’impression qu’il regrette l’Éloïse dans sa robe d’hier. On voit la neige ...
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