Oui Maître - Histoires de Sexe

Oui Maître

... êtes-vous prête pour recevoir votre punition ? – Oui, Maître, je suis prête. Je sens le trouble au son de sa voix, elle pense que ce n’est qu’un jeu. Le premier coup de cravache lui prouve le contraire car celui-ci, suffisamment dosé, claque sèchement sur ses fesses, lui arrachant un râle de douleur. – AAAAAAAhhhhh, UN… – Je vous avais précisé que je ne voulais entendre que le compte des coups et pas vos « Aïe ». – Oui, Maître. Je vous implore pour cela dix coups supplémentaires. Je ne recommencerai plus. – Très bien. Le second coup s’abat, aussi rude que le premier. Sylvie hurle « DEUUUUUUUUUX » dans un râle interminable. Le troisième claque sur l’autre fesse : TROOOIIIIIIIIIS, QUAAAAAAAAAAAAAATRE, et ainsi de suite jusqu’au vingtième. Tous aussi claquants les uns que les autres. Des larmes coulent sur son visage. Ses fesses, blanches au début de la correction, ont bien vite rosi, elles sont rouge écarlate à présent. Sa chatte est mouillée à souhait, elle a pris du plaisir à se faire corriger ainsi. Tout en lui présentant ma main droite, je lui précise : – Vous pouvez me remercier. – Merci, Mon Maître. Merci pour ce que vous faites pour moi, Mon Maître, merci pour votre patience Mon bon Maître, dit-elle tout en m’embrassant la main presque à chaque mot prononcé. – Je suppose que vous vous attendiez à une punition bien plus soft, n’est-ce pas ? – Oui, Maître, mais après la surprise des premiers coups, j’ai aimé et, je dois l’avouer, j’ai joui à deux reprises, Maître. – Vous ...

... souvenez-vous à quels coups ? – Au neuvième et dix-septième coup, Maître. – Incroyable, je n’en reviens pas, jamais je n’aurais soupçonné ma femme d’être ainsi ! – L’honneur en revient à Sylvie, c’est une élève admirable. – Puis-je me caresser pendant que vous poursuivez avec Sylvie, car je suis surexcité de la voir ainsi. – Soyez sans gêne, masturbez-vous si vous le désirez, mais vous ne pourrez intervenir auprès de Sylvie que sur mon consentement, et uniquement lorsque je le désirerai. C’est compris ? – Oui, oui. Je reste à mon fauteuil, poursuivez, je vous prie. Séchant les larmes de Sylvie, je lui caresse avec infiniment de douceur ses fesses meurtries. Elle ondule du bassin tant elle en apprécie les bienfaits. – Reprenez votre position initiale sur le dos, jambes repliées et écartées. – Oui, Maître. Pendant qu’elle reprend place, Karl, qui ne perd pas une miette du spectacle qui lui est offert, en profite pour baisser son pantalon et, à la vue de la chatte luisante de Sylvie, commence à se masturber. Du bout de la cravache, j’écarte les petites lèvres et insinue la palette de l’accessoire à l’orée de son vagin pour aller taquiner son clitoris gonflé de désir. Sylvie commence à se pâmer sous les attouchements de ma cravache. – J’aime ce que vous me faites, Maître. Le branle de son clitoris déclenche chez Sylvie un orgasme qu’elle exprime par une expiration appuyée et prononcée entre ses dents. – Vous ai-je autorisé à jouir ? – Non, Maître. Pouvez-vous me punir pour cet ...