Christine se transforme en cougar
Datte: 01/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
Oral
pénétratio,
init,
inithf,
bourge,
... gamin de 13 ans, mais maintenant il avait 18 ans et Christine n’était pas au fait des besoins des jeunes de cet âge. Elle opta pour une veste en cuir de printemps qu’elle trouva à Paris. Elle arriva ce jour-là chez son amie. — Bonjour, Cricri ! cria joyeusement Carole en voyant son amie et en l’embrassant. Tu viens voir l’enfant prodige ? Allez, entre ma belle.— Bonjour Carole. Elles s’embrassèrent chaleureusement. Christine suivit son amie dans le salon et Thomas arriva. Elle reçut un choc en le voyant. Il faisait maintenant plus d’une tête qu’elle, était devenu baraqué, et il portait une barbe de quelques jours. — Bonjour Christine, dit Thomas en s’approchant pour l’embrasser— Salut Thomas. Qu’est-ce que tu as changé ! C’est impressionnant ! Il faut dire que la dernière fois que je t’ai vu, tu étais encore un gamin. Maintenant t’es presque un homme.— Je suis un homme, affirma-t-il. Et toi tu n’as pas changé, par contre. Toujours aussi belle. Je t’assure.— Ton fils est vraiment charmant, dit-elle à Carole. Merci pour le compliment. Mais je n’en reviens pas. Ta mère me montre souvent des photos de toi, mais de te voir en vrai c’est différent— Allez ! On va prendre l’apéro dehors ; il fait très beau : on va en profiter ! lança Carole. Ils sortirent donc. L’apéro et le repas se passèrent très bien. La discussion tournait autour de Thomas : de sa vie là-bas, de ses études, etc. Christine se disait en elle-même qu’il était très beau, avec beaucoup de charme et d’humour. Il ...
... tenait cela de son père. Leurs regards se croisèrent souvent et Christine devenait de plus en plus troublée. Ce très jeune homme la magnétisait. À la fin du repas, il dit : — Je vais profiter de la piscine. Elle est super bonne, environ 23° tout à l’heure. Vous venez ?— Je n’en ai pas envie, répondit sa mère— Moi non plus, dit Christine. Je suis frileuse : moins de 25°, c’est impossible.— Tant pis pour vous. Il rentra pour se changer. Les deux amies refaisaient le monde. Il arriva alors en caleçon de bain, et Christine peut admirer son corps fin mais musclé.« Décidément,se dit-elle,je perds la tête. Voilà que je regarde de trop près un gamin et qui est de plus le fils de mon amie. N’importe quoi… Pense à autre chose, ma fille ! » Il plongea et nagea. Christine n’arrivait pas à le quitter des yeux ; elle le suivait constamment du regard, profitant du fait que Carole était occupée depuis quelques minutes au téléphone. Carole revint 20 minutes plus tard, obligeant ainsi Christine à ne plus regarder Thomas aussi souvent. L’après-midi se passa ainsi et Christine décida de partir. Elle embrassa Thomas pour lui dire au revoir, et elle sentit ses mains se poser sur ses hanches. Elle frissonna. En embrassant Carole, cette dernière dit : — Viens déjeuner vendredi : on part à Paris demain et on revient jeudi soir, et samedi on repart pour deux semaines à Londres.— C’est très gentil de votre part. Merci. Je viendrai, mais à 13 h 30 il faut que je parte car tous les vendredis à 14 heures ...