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Dialogues Interdits – Épisode 4 – Fine mousse contre vieille écorce
Datte: 01/09/2017, Catégories: A dormir debout,
... salle de bain et a changé de vêtements. Je dirais pas des vêtements ultra cleans, des vêtements mieux, disons. Et puis il a bu un jus d’orange, s’est fait deux tartines de confiture. À chaque fois il a demandé s’il pouvait, même si je lui avais dit et redit qu’il pouvait tant qu’il voulait, que ce n’était pas la peine de demander. – Et puis… ? – Et puis je lui ai demandé s’il avait envie de partager un moment de tendresse en ma compagnie. Il a accepté, je l’ai invité sur mon lit. On s’est câliné, longtemps l’un contre l’autre, sans rien faire d’autre que s’enlacer, se serrer. Quelle tendresse, waouh ! Une douceur que j’ai ressenti avec très peu d’hommes. Il s’en est fallu d’un cheveux qu’on en reste là. – C’est toi qui a fait le pas suivant ? – Oui, je l’ai embrassé, puis j’ai retiré mon t-shirt. Ce n’est qu’à partir de là qu’il a compris qu’il pouvait. – Qu’il pouvait quoi ? – Qu’il pouvait tout. Me caresser, m’embrasser partout, me déshabiller entièrement. C’est ce qu’il a fait. Lentement, en prenant son temps. – À défaut de quelques sous, il a eu tes dessous. – Il s’en est bien fichu ! Ce qui l’intéressait, c’est ce qu’il y avait… en dessous. Là, ça lui a beaucoup, beaucoup plu. – Et ensuite ? – Ensuite ? Que dire. Il m’a pénétrée en position du missionnaire, m’a léchée et caressée les seins, a accéléré, a éjaculé. Classique, quoi. – Il t’a fait jouir ? – Bien sûr que non. – Il t’a donné au moins un peu de plaisir ? – C’était pas si mal. Le plaisir était surtout ...
... psychique. J’ai beaucoup aimé partager avec lui ce petit moment de complicité. Physiquement il n’y a pas eu aucun plaisir. Pas beaucoup non plus. Il n’a même pas songé à demander plus. Une branlette espagnole, une sodomie, d’autres postures, je sais pas moi. Rien du tout, et son sexe ne s’est même pas rapproché de ma bouche. Pourtant il pouvait, pour ça comme le reste j’aurais été d’accord. Après qu’il se soit retiré, je me suis dit que vraiment, c’était trop bête… j’ai donc essuyé et l’ai quand même un peu sucé. – Ça lui a redonné envie ? – Il a aimé, une semi-érection est revenue, mais pas de second coup. Pas grave. – Eh ben dis donc, quelle histoire. – On devrait toutes faire comme ça, de temps en temps. – Tu veux dire, coucher avec les hommes qui ont des envies sans jamais avoir accès aux jeunes filles telles que nous ? – Le monde serait meilleur, si on le faisait. – Heureuse que tu parviennes à le faire. Moi je ne pourrais pas. C’est curieux que tes yeux pétillent autant en me racontant ça. – Pourquoi ? – D’habitude quand tu me racontes tes aventures elles sont beaucoup plus originales. – Tu peux pas dire que ça ne l’était pas ! – Ce qu’il y avait autour l’était. Une jeunette comme toi qui fait une proposition à un affreux tel que lui, ça n’arrive jamais. – Et c’est bien ce qui est si triste. – Maintenant la suite des évènements… bon ben vous avez couché, quoi. D’une manière très classique, sans détail singulier ou excitant. Et même, plutôt des détails qui font pas rêver. Alors ...