1. La chevauchée des Walkyries


    Datte: 01/09/2017, Catégories: ffh, fagée, inconnu, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, sauna,

    ... ambiante, oui, certainement. Au fond de moi, je pensai :et si tu voyais ta chatte ? Mais c’est elle qui reprit la balle au bond, la dame pas la chatte… — Oui, bien sûr, je voulais m’assurer que vous êtes bien à l’aise. Vous n’avez quand même pas peur d’être seul avec deux femmes ? Je pensai alors à cet Allemand que j’avais croisé. Que lui était-il arrivé ? S’était-il sauvé ? — Non, point du tout, la sauna nous ramollit tellement que nous ne risquons rien, répondis-je avec un sourire un tantinet moqueur. Mon Allemande me toisait maintenant. Mon regard se partagea entre sa superbe paire de seins, un peu lourds, il est vrai, mais qui mouraient certainement d’envie d’être malaxés, caressés, léchés, et son mont de Vénus que je découvrais maintenant de face, bien entretenu et qui me semblait très appétissant. — Détrompez-vous, cher monsieur, au bout de quelques minutes, l’organisme s’habitue à la chaleur du sauna. Á propos, avec ce petit accent, d’où venez-vous donc ?— Je suis Français. Et vous ?— Ah oui, j’aurais dû m’en douter. Jamais un Allemand ne nous aurait « déshabillées » comme vous le faites. Ils préfèrent tellement l’ivresse de la bière, ces pauvres cons.— Vous vous méprenez.— Non, non, mon amie et moi, nous avons vite repéré votre petit manège, n’est-ce pas, Brigitta ?— Hallo Brigitta ! Et vous, vous vous appelez ?— Christine. Nous sommes toutes les deux des Souabes. En général, nous avons la réputation en Allemagne d’être un peu ploucs, un peu comme les Bretonnes chez ...
    ... vous. Mais, bon, ce n’est pas grave. Et que fait un petit Français dans notre belle région ?— Je viens démarcher un nouveau sous-traitant dans l’industrie automobile.— Ah oui ! Et c’est la première fois que vous venez chez nous ?— Eh oui ! A priori, l’accueil semble sympathique.— Et tu n’as pas encore tout vu(tiens, elle me tutoie déjà !). N’est ce pas Brigitta ? Brigitta partit d’un grand éclat de rire, descendit doucement de sa planche et se posta à son tour devant moi tout en prenant sa copine Christine par le cou. — Il me semble que nous ne laissons pas notre nouvel ami indifférent. Regarde donc comme il bande déjà. J’étais un peu gêné quand même et tentai de me couvrir le sexe des deux mains. — Mais non, voyons ! C’est très flatteur pour nous. Tu aurais tort de ne pas en profiter. À nous de nous montrer à la hauteur. C’est à ce moment que Christine prit l’initiative de verrouiller le sauna de l’intérieur. Je ne pouvais plus leur échapper et on ne pouvait plus nous déranger. — Regarde, comme il est doux et chaud ce sexe français, susurra Christine, tout en me prenant délicatement le sexe dans la main et en le caressant du bout des doigts, depuis le gland rougi par l’excitation jusqu’aux bourses. Ce fut comme une décharge électrique. Devais-je fermer les yeux pour mieux en profiter ? Que nenni, d’autant que Brigitta se postait à côté de sa copine. J’avais sous les yeux cette paire de seins, certes lourds, mais quand même superbes et que je mourais d’envie de caresser pour ...