Balades - Histoires de Sexe

Balades

... je savais que tu étais en train de regarder pendant qu’il était sur moi. Il a un gros sexe… ça m’irradiait tout le ventre à chaque fois qu’il s’enfonçait et venait buter au fond du vagin et contre mes fesses. Je savais qu’il le rentrait en entier et que tu voyais tout. Je crois même que c’est en pensant que tu voyais tout ce qu’il faisait que ça m’a fait jouir…— C’était quelque chose d’irréel, voir tes fesses se tendre vers lui, son sexe pointer vers toi et se glisser dedans, tu te souviens, comme ce manche de pelle-bêche à la forme très évocatrice qui t’avait fait fantasmer il y a pas mal d’années. Je l’avais scié pour qu’il soit plus maniable et on s’en était servi un soir. Je me souviens encore du moment où je l’avais approché de ton sexe et vu disparaître doucement dans toi au fur et à mesure que je le poussais. Ça m’avait fait une drôle d’impression de voir autre chose que mon sexe te pénétrer.— Je m’en souviens, c’est vrai que l’idée était excitante, mais c’était un peu gros à passer.— Je te signale que celui d’Hubert n’est pas plus petit, peut-être même plus gros, mais tu en avais tellement envie, c’est pour ça qu’il est entré sans difficulté. J’ai vu ton vagin s’ouvrir et son sexe te pénétrer, qu’est-ce que tu as ressenti ?— Quand il est entré… l’émotion de sentir que c’était « le sien » qui était en train de glisser dans moi et pas « le tien » … et que tu étais en train de regarder… C’est vrai que j’ai senti quelque chose de gros mais je n’arrive pas à imaginer, je ...

... ne l’ai pas vu, j’ai seulement ressenti ses poussées et les allers-retours puissants… jusqu’au fond. L’idée que tu voyais ça en gros plan et puis cet orgasme fulgurant qui est monté brutalement sans que je le sente venir et qui a été vraiment très, très fort. Ensuite j’ai zappé, j’ai un vague souvenir de ses soubresauts quand il a déchargé, je crois bien que j’ai pensé à ce moment-là :« Ça y est… il vient de me remplir… il m’a baisée complètement… » et puis son poids sur moi, et mon étonnement de me retrouver sous la table.— Tout ça n’est pas normal et m’angoisse, mais je dois reconnaître aussi que cela crée une tension sexuelle très forte, je ne me souviens pas avoir eu autant de désir de te pénétrer et de plaisir à te prendre après lui dans la salle de bain.— C’est vrai, moi non plus je n’avais pas joui comme ça deux fois de suite depuis bien longtemps… et d’en parler, je sens que j’en ai encore envie.— Moi aussi. Elle avance sa main et rencontre mon sexe dressé. Je quitte mon pantalon pendant qu’elle relève sa chemise et une nouvelle fois je la pénètre d’un coup brutal tellement le désir est fort ; elle écarte ses cuisses en grand et s’accroche à moi en gémissant. Malgré la douche, mon passage et celui d’Hubert sont toujours récents et je glisse encore facilement. Martine est déjà repartie dans son délire tellement cette situation extraordinaire l’a excitée, et s’accouple à moi à grands coups de reins. Mon pubis heurte le sien violemment, je dois lui écraser le clitoris à ...