Ecole du Sexe (5)
Datte: 01/09/2017,
Catégories:
Hardcore,
Inceste / Tabou
... qu'elle introduisit à l'intérieur de ma bouche. Je commençais alors à lui sucer le téton, mettant toute ma tendresse dans les coups de langue que je lui administrais. Je l'entendais respirer bruyamment pendant qu'elle caressait l'arrière de mon crâne de sa douce main de fée. Je frémissais à ses caresses et au contact de ses doigts divins massant mon crâne, ôtant toute trace de doute de mon esprit. Je me sentais au comble du bonheur, je le lui rendais alors directement pendant de longues et délicieuses minutes au bout desquelles elle s'éloigna, couvrant mon torse de baiser, puis mon bassin, puis mes cuisses avant de prendre en main mon membre n'attendant plus que cela. Dès lors que ses lèvres touchèrent le bout de mon pénis, une décharge de bonheur me traversa le corps, me faisant réagir à la moindre caresse. Après quelques minutes à masturber mon attribut masculin, elle me regarda tendrement, droit dans les yeux. Je voyais, malgré l'obscurité, la faible étincelle de l'amour scintiller dans ses iris émeraude.-Redis-le, pour moi ?Je lui rendis son regard, comprenant exactement ce qu'elle voulut de moi. Je me relevai à moitié, la serrant dans mes bras. Sa poitrine vint se coller à mon abdomen, ses tétons durcis par l'excitation chatouillaient ma peau devenue plus sensible ce soir. Je l'embrassai alors une nouvelle fois, sur la bouche, sur le cou, à la naissance de ses seins pour revenir sur sa bouche.-Alice, je crois que je t'aime comme un fou.Elle m'embrassa juste sous ...
... l'oreille et me poussa en arrière après s'être libérée de mon étreinte, appuya sur mon torse, m'obligeant à m'allonger totalement. Mon pénis, en parfait état d'excitation depuis plusieurs minutes, pointait joyeusement vers le plafond. Elle se replaça au niveau de mon entre-jambes et, sans plus de cérémonies, elle plaça mon gland à l'entrée de sa bouche. Je sentis alors sa langue se balader sur mon membre, chatouillant mon organe comme jamais personne ne le l'avait fait auparavant, pas même ma sœur. Je restai allongé sur mon lit, au paradis, pendant que la femme que je portais dans mon cœur s'occupait de combler mes désirs. Je commençai à pousser de petits grognements au fur et à mesure qu'elle enfonça mon bâton dans sa bouche, sans jamais arrêter de lécher et d'aspirer mon pénis. Une fois le gland avalé entièrement, elle commença quelques mouvements de va-et-vient avec sa tête. Je ne pus tenir éternellement et ce qui devait arriver arriva : je me vidai alors dans sa gorge, poussant un cri de plaisir sans me soucier si les autres m'entendaient. D'ailleurs, je m'en moquais éperdument. J'étais au comble du bonheur, si bien que je venais à peine de m'apercevoir que nous n'étions pas les seules à nous amuser. Je distinguai les légers soupirs aiguës des filles. J'entendis alors Alice avaler ma semence avant qu'elle s'allonge à côté de moi.-Tu as beaucoup joui ; tu dois être fatigué, mon cœur.Elle venait de m'appeler « mon cœur ». Apparemment, notre histoire allait réellement devenir ...