1. Le Club - Partie 13


    Datte: 03/08/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... milieu d'une véritable horde déchaînée. Le retour des membres du club avait marqué le déclenchement d'une véritable orgie où les jeunes femmes n'étaient plus que des morceaux de viande à la merci des mâles en rut. Sur tous les canapés, des couples ou des trios étaient en pleine action. Une véritable folie. Le juge avait agrippé Delphine par la queue de cheval et l'avait plaqué face contre le cuir du canapé. Il la forçait à se cambrer au maximum pendant qu'il baissait sa jupe. - Tu vois ma belle, lui dit -- il, je vais tenir ma promesse. Ce soir je vais t'arrondir la rondelle. J'espère que tu ne t'es pas encore fait agrandir le cul, ce serait dommage. Prise au piège, Delphine tentait de se débattre pour échapper au sort horrible qui l'attendait. Depuis quelques jours, Diaz avait autorisé Humberto à user d'elle comme il le faisait déjà avec Muriel mais ce dernier n'était pas plus un amateur de la sodomie que son employeur ce qui faisait qu'elle était toujours vierge de l'anus. Elle savait qu'elle allait perdre cette virginité et elle gardait en souvenir l'horrible expérience vécue par sa collègue Muriel qui était restée prostrée pendant de longues heures après son viol anal par ce vieillard priapique. Malheureusement, elle ne pouvait pas lui échapper ni même éviter de camber les fesses. Dans ce canapé en cuir mou, relever les fesses était la seule chose qui l'empêchait d'étouffer. Le juge, conscient de l'inéluctabilité de sa victoire, décida de jouer avec elle. Il faisait ...
    ... presser son gland sur l'œillet anal de sa victime avant de le retirer au dernier moment. A chaque fois, on entendait Delphine pousser de petits cris d'animal effrayé mais qui n'avaient rien à voir avec ceux qu'elle poussa quand, finalement, le sexe du vieillard força sa dernière virginité. Elle n'eut plus ensuite comme recours que de mordre le cuir du canapé pendant qu'elle se faisait pistonner avec force par un homme qui avait l'âge d'être son grand-père. Les filles du juge n'étaient pas en reste. Le professeur Laroquette avait décidé de continuer ce qu'il avait commencé dans la voiture avec la pauvre Sarah. De nouveau obligée à satisfaire la libido d'un vieillard, elle se retrouvait à genoux la tête entre les cuisses du directeur d'école. La jeune fille qui vivait dans la hantise permanente de subir une nouvelle sodomie, se montrait fabuleusement docile avec ce nouveau partenaire dans l'espoir qu'il se montre plus doux que le juge. Tout à son excitation, Laroquette la saisit par le bras, lui fit passer sa robe par-dessus la tête pour la déshabiller totalement avant de la coucher sur de dos. Il la prit alors jusqu'à la garde en la forçant à le regarder bien en face. - N'est -- ce pas que je suis fort? répétait -- il. Et je suis aussi très beau? Dis le moi, petite pute! - Oui vous êtes beau et fort, faisait une Sarah qui avait bien compris qu'elle devait se plier aux caprices de ce vieillard pour éviter un sort encore pire. Un sort du genre de celui de sa sœur aînée qui était ...
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