Mon premier bain
Datte: 04/08/2019,
Catégories:
jeunes,
copains,
fépilée,
vacances,
plage,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
init,
— Cath ? Tu rêves ? demande Anne, me sortant de mes songes.— Euh, oui complètement, je suis vraiment crevée ! Vivement le week-end ! La cafèt’ est plutôt déserte, en cette fin d’après-midi. Anne et moi sommes installées à une petite table, à siroter un soda frais, juste sous un ventilateur de plafond délabré, qui ne brasse que de l’air chaud. L’été semble être en avance cette année. La chaleur, dehors, est écrasante et la climatisation à la fac n’est toujours pas d’actualité. Anne m’a invitée à passer quelques jours dans un petit chalet qui appartient à son grand-père, à trois heures de route d’ici. Il paraît que l’endroit est magnifique. Le chalet donne sur un petit lac, ce qui permet de profiter des avantages de la montagne et de l’eau en même temps. C’est exactement ce qu’il me faut avant d’affronter la fin de l’année et son lot de partiels et de stress. Demain étant férié, nous allons avoir trois jours pour parfaire notre bronzage. — Bon, je vais y aller, dit Anne. Je vais mettre mes valises dans le coffre, faire le plein de la voiture et je passe te chercher chez toi dans, disons, une heure et demie, quand tu auras terminé ton dernier cours ?— Impec ! dis-je, jetant un œil à ma montre (Oups, plus que deux minutes pour rejoindre l’amphi !) A tout à l’heure ! dis-je, en me levant, ramassant précipitamment mon sac de cours. Je lui fais un signe de la main en quittant la cafèt’ et prends le pas de course : il ne fait pas bon arriver en retard au cours de M. Martin si on ...
... veut passer l’heure tranquille ! Je décroche très rapidement de la brillante démonstration de mon professeur "préféré", mon esprit déjà tout au week-end qui m’attend. — Je vous souhaite un bon week-end et à lundi. Profitez-en pour réviser, dit M. Martin pour conclure son exposé. Tu parles ! Les révisions, c’est pas pour ce week-end, je peux te l’assurer, vieux schnock ! Je remballe rapidement mes affaires et quitte l’amphi. A peine dehors, je suis saisie par une véritable chape de plomb. Les dix minutes qui me séparent de mon appart me semblent un véritable calvaire et c’est véritablement en eau que j’arrive à destination. Il me reste à peine quinze minutes avant l’arrivée d’Anne, dont je tire parti pour prendre une bonne douche. À peine ai-je ouvert le robinet que la sonnerie de la porte retentit : la loi de Murphy a encore frappé ! Je sors de la douche en pestant et m’enroule dans ma serviette de bain, avant d’ouvrir la porte. — Qu’est ce que tu fous ? me demande Anne, visiblement contrariée. Magne-toi, on y va !— C’est bon, c’est bon ! Je m’habille et on y va, dis-je, en filant dans ma chambre, fermant la porte pour avoir un peu d’intimité.— C’est ta valise ? me demande Anne, du salon, désignant probablement mon sac.— Oui, dis-je en me frictionnant.— Ok, je la descends et je t’attends dans la voiture. Pfouh, c’est une véritable tornade celle-là, quand elle s’y met. Ce n’est que lorsque j’entends la porte claquer, que je réalise que je viens de commettre une légère erreur : ...