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Les fourberies de Maya 2 : L'hommage
Datte: 01/09/2017, Catégories: fh, extracon, alliance, campagne, amour, volupté, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, humour,
... verge champêtre est douce en son terroir et mon doigt bucolique bonifie son arrière-pays… Citius, altus, fortius ! Dans la mansarde secouée par nos tramontanes, quelques vents, quelques brises d’anus me font sentir que ma belle-sœur est toujours vivante. Ereintée, assouvie, gavée par des tourments voluptueux venus de toute part, elle est divinement raffinée et attendrissante dans la fulgurance de son interminable petite mort. Inaccessible étoile ! Ite orgasme est ! Amen ! Michel Jonasz, extraits Je voulais te dire que je t’attends Et tant pis si je perds mon temps. Je t’attends, je t’attends tout le temps Sans me décourager pourtant. Comme quelqu’un qui n’a plus personne S’endort près de son téléphone, Et sourit quand on le réveille Mais ce n’était que le soleil. Je voulais te dire que je t’attends. Si tu savais comme je t’attends ! Je t’attends, je t’attends tout l’temps. Quand seras-tu là ? Je t’attends. Si tu savais comme je t’attends ! Je t’attends, je t’attends tout l’temps. Je voulais te dire que je t’attends. « Reste, surtout ne bouge pas mon chéri. J’ai peur ! Serre-moi fort dans tes bras. Fabian, je n’ai jamais vécu un abandon physique aussi enivrant, une telle reddition jouissive, un total recall hors-la-loi. Tu m’as capturée, tu m’as envoûtée en volant mon esprit et mon âme. Mieux que dans mon rêve avec toi cette nuit, vois-tu ? Et avec une maxi conquête de ma rosette vierge par toi, mon cher chevalier servant… Royale ! Twelve points ! Et without annus horribilis ...
... ! Evidemment, j’en ai été profondément touchée. Mais comme dit un proverbe islandais des faubourgs de Reykjavik : Bien acquis par-devant, profite doublement par-derrière ! Quelle empoignade bilatérale, monseigneur ! Quelle échauffourée bien longue et bien bonne et tout et tout ! Non, tu ne te moques pas de Maya, s’il te plaît ! Sinon plus cul-cul ! Oui je dis, plus de coïtus répétitum non interruptus… Oh mais, Fabian, que m’as-tu fait là ? D’aimables politesses au cul de l’église ? Non, habituellement ce n’est pas là qu’on les pratique. Du bonheur à la pelle ? Sans nul doute et j’en témoigne trois fois plutôt qu’une ! Mais maintenant, mon vainqueur, qu’allons-nous faire de notre maillot à pois et de notre maillot jaune… ? » Finalement, nous nous bécotons, nous nous étreignons, nous nous recouvrons, nous nous recouchons. Puis nous nous assoupissons, lovés l’un contre l’autre, couenne à couenne flapies en chien de fusil. Nous nous endormons tous deux, pine à fesses en lego. Deux minutes trente-cinq de bonheur plus tard, j’ai la trique en rondin, en sommeillant. Maya somnole aussi mais remonte instinctivement son cul fier vers le creux de mon ventre. Mon canon à long recul vient se loger dans sa raie évasée en dormant. Je relève ma garde en roupillant. Comme par enchantement ses miches molles pourtant assoupies font sourire sa rosette. J’ajuste et je règle ma hausse en baillant. Trou de balle en vue en pleine sieste. Bataille anale. Impact imperceptible. Je dépouille et je guide ...