Stéphanie est une bonne salope ! Une sacrée salope
Datte: 01/09/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
Première fois
Partouze / Groupe
... vous me permettez l’expression, chère Stéphanie…Amusée par cette répartie, mais néanmoins au bord de l’explosion, je réponds quand même : — Permettez-vous… permettez-vous…C’est vrai qu’on traite rarement de « madone » une femme qui s’envoie en l’air avec deux hommes qu’elle ne connaissait même pas il y a moins d’une heure. Et comme ni la religion ni la société n’ont admis les trios comme étant une des normes légales… Stephen profite de la permission que je viens de donner, il chantonne presque : — Stéphanie est une bonne salope ! Une sacrée salope ! Et j’adore les salopes comme elle !Sous ces mots crus et spontanés, sous ces coups de boutoir, des flashes puis une onde de choc extraordinaire me percutent de plein fouet ; c’est bien l’une des premières fois que j’ai un tel orgasme !Un raz-de-marée tempétueux me balaye, m’emporte, explose en ricochet dans mon corps en folie : l’ultime porte s’est ouverte, fracturée par deux intrus qui me pistonnent, me possèdent, me partagent et m’exploitent. Je sens distinctement dans la tourmente qui m’emmène leurs chairs en moi occuper tout mon espace, leurs jets chauds et gluants qui tapissent mes grottes cachées, leurs frictions qui échauffent mes sens, leurs va-et-vient qui me font osciller, ballotter mes seins et mes fesses comme une poupée dans les mains des horripilants mais adorables voyous que sont mes deux amants.Alanguie, je reste affalée sur le corps de l’un, couverte du corps de l’autre. Une sensation délicieuse, pas très ...
... morale mais exquise. C’est surprenant et merveilleux de les sentir faiblir en moi, qu’ils soient, à la fois autour et au-dedans. Amusée, dans une semi-inconscience, je songe que comme je ne suis pas morte, il faudra réessayer et le plus vite possible. De nouvelles perspectives s’offrent à moi…Je suis rompue, ils se retirent délicatement de moi, je roule sur le dos, béate, les bras en croix, les jambes écartées, impudique à souhait. Ils s’approchent, m’entourent. D’un simple signe, je demande d’approcher plus encore puis je les arrête. Ils sont à la bonne place, bien positionnés. Je m’offre le dernier luxe, la dernière fantaisie, la dernière petite dépravation avant de sombrer en cueillant leurs sexes flasques entre mes lèvres. Dans ma bouche, ils reprennent consistance tandis que je les nettoie amoureusement et lascivement, goûtant à toutes leurs saveurs et aux miennes mélangées. Puis, lassée, vidée, je les abandonne en retombant sur l’oreiller.Livraison finieRepue, satisfaite, je m’étire comme une chatte comblée et je sombre dans un doux demi-sommeil. Avec précaution, mes deux amants se retirent du lit, je sens leurs regards fervents et affectueux sur ma petite personne. Je parie qu’ils croient que je dors profondément comme j’ai parfois coutume de faire après l’amour. — Vous vous en allez, messieurs ?Les deux hommes se figent près de la porte de la chambre. Lino s’exprime alors d’une façon comiquement surannée : — Ah, gente Dame, nous serions volontiers restés avec très grand ...