Stéphanie est une bonne salope ! Une sacrée salope
Datte: 01/09/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
Première fois
Partouze / Groupe
... ? À m’essuyer ?Illico, il agrippe la perche que je lui tends : — Oui, à vous essayer… euh, pardon… à vous essuyer ! C’est à cause de nous, si vous êtes toute trempée…Avec un naturel désarmant, je lui tends ma serviette : — Pourquoi pas…Le jeune est totalement abasourdi. Par contre, son collègue a un large sourire aux lèvres. Je me demande pourquoi je me comporte de la sorte. Une envie de casser la routine ? Qui sait…Toujours est-il que le plus âgé se fait un plaisir de commencer à m’essuyer. Il commence par le dos, une zone pas trop dangereuse, puis il remonte sur mes épaules, descend le long d’un premier bras, pour remonter ensuite vers mon cou, puis s’occuper de mon second bras. — Vous savez vous y prendre… Vous faites souvent le coup du jet d’eau à vos clientes ?Mon sécheur rigole franchement, et répond, l’air vicelard : — Vous faites souvent le coup du séchage aux livreurs de passage ?Il a de la répartie : un point partout. Il s’attaque à présent à mon ventre. Je constate que son jeune collègue n’en perd pas une miette. La situation m’amuse, je me laisse faire. Et puis, ça met un peu de piment dans ma vie. Mon sécheur descend le long de mes jambes, sans trop oser s’attarder sur mes cuisses. Mais je reconnais qu’il s’y prend bien, sans brutalité mais avec efficacité. Il revient sur mon ventre, et je sens qu’il hésite. Un peu narquoise, je lui demande : — Vous avez fini ? — Euh… pas tout à fait… — Dans ce cas, pourquoi vous arrêtez-vous ? — C’est que… vos seins… — Oui, ...
... quoi mes seins ? — C’est que… ils sont mouillés… — Ne faut-il pas les sécher, eux-aussi… — Si c’est vous qui le dites ! dit-il d’un air faussement détaché. Ce qui ne l’empêche pas d’aller s’emparer de mes seins à travers le tissu de la serviette, sous prétexte de les sécher. Et il y va de bon cœur, se faisant un plaisir de palper, de masser, de soupeser mes deux petites masses bien fermes. Et aucune parcelle de peau de ma poitrine n’échappe à sa vigilance. Alors qu’il est visiblement en train de jouer avec les pointes de mes tétons, mon méridional me complimente : — Vous avez une poitrine de jeune-fille… — Merci du compliment… — Tout le plaisir est pour moi ! — Je veux bien le croire…Et il continue son petit jeu coquin sous l’œil assez ahuri de son comparse qui doit se demander s’il rêve ou pas. Maintenant sèche, mes mains sur les hanches, mes petits seins arrogants bien pointés, je demande aux deux hommes qui me font face : — Au fait, vous vous appelez comment ? Vos prénoms ? — Le jeunot, c’est Stephen, et moi, c’est Lino. — Amusant, vous avez les prénoms de vos physiques… Moi, c’est Stéphanie. — Ah, ça sonne proche de Stephen… — En effet…Lino change complètement de sujet : — Vous savez que vous êtes encore un peu mouillée au bas du dos ? — Ah bon ? Et je suppose que vous allez vous faire un plaisir d’y remédier ? — On ne peut rien vous cacher ! D’autant que le plaisir sera en effet pour moi… et j’espère aussi pour vous…Je tourne sur moi-même, présentant mon dos : — Faites-vous ...