Stéphanie est une bonne salope ! Une sacrée salope
Datte: 01/09/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
Première fois
Partouze / Groupe
... Stephen s’exclame : — Ah non ! Certainement pas !Je m’allonge sur le dos, jambes écartées. Stephen réprime difficilement une envie de se jeter sur moi. Il se maîtrise, il s’agenouille entre mes genoux, le sexe bien raide, puis posant ses bras de part et d’autre de mon cou, il s’allonge à moitié sur moi pour venir me pénétrer.Quand son pieu de chair entre en moi, je réprime un petit frisson, celui de l’interdit. Un autre homme que mon mari est en train de me baiser. C’est excitant, mais c’est un jeu qui peut devenir dangereux. L’instant d’après, c’est avec une grande satisfaction que je sens une bonne bite s’enfouir en moi, la nouveauté, ça a du bon !Tandis que Stephen commence à aller et venir en moi, je tends le bras vers Lino, ou plutôt vers sa queue. Il comprend très vite le message, et deux secondes plus tard, je branle une bite plus courte mais plus épaisse. Je m’étonne moi-même de la facilité avec laquelle je me laisse aller avec deux inconnus que je ne connaissais même pas, il y a cinq minutes, disons dix…Soudain, tandis qu’il me ramone voluptueusement, Stephen s’exclame : — Eh merde ! — Quoi donc ? — J’ai une folle envie de tout lâcher mais j’ose pas ! — Pourquoi ? — C’est tellement intense que j’ai peur de ne plus savoir bander après et de continuer à en profiter !Je pars dans un grand éclat de rire. Lino fait pareil. Stephen s’immobilise en moi, il semble contrit ; je comprends néanmoins son dilemme, même si je ne connaisse pas grand-chose à comment un homme gère ...
... sa queue. Après m’être reprise, je m’adresse à Stephen : — Ah ça, je ne peux pas choisir à votre place… Mais j’aime beaucoup qu’un homme m’honore plusieurs fois. Sinon, si vous n’y arrivez pas, je suppose que Lino se fera un plaisir de vous relayer !Celui-ci confirme : — Plutôt deux fois qu’une ! — Ah non ! Je ne compte pas te laisser ma place ! — Eh bien, prouve-le !Curieusement, Stephen se retire, je sens comme un vide, un manque ne moi. Après un bref silence, je l’entends me dire : — Euh… vous pourriez vous mettre à quatre pattes ? — Comme pour une levrette ? — Oui, comme pour une levrette, c’est un de mes fantasmes, et si je n’ai droit qu’à un seul coup, autant en profiter.Assez étonné, Lino, que je branle toujours, intervient : — Tu veux dire qu’avec tes copines, tu ne fais pas de levrette ? — Ben, pas beaucoup en tout cas. À chaque fois, elles estiment que c’est trop… comment dire… bestial… Je passe même pour un sale pervers quand je leur demande ça… — Elles ne savent pas ce qu’elles loupent ! N’est-ce pas, Madame ? Pardon, Stéphanie…J’approuve : — En effet, elles ne savent pas ce qu’elles loupent !Puis lâchant Lino, je me mets en position, à quatre pattes comme une chienne en chaleur. Les deux livreurs en profitent pour mater, je ne peux leur donner tort… Alors que je viens juste de capturer à nouveau la queue de Lino, deux mains agrippent fermement mes hanches et l’instant d’après, sans préambule, un gros gourdin s’enfonce en moi sans ménagement ! Encore heureux que je ...