Mon fils m'a fait cocu. (5) - Histoires de Sexe

Mon fils m'a fait cocu. (5)

Le réveil le lendemain commença par un : - Bonjour Boris, que me fit Marisette sur le pas de porte, habillée dans un déshabillé troublant, as-tu bien dormi ? - Bonjour tante, Ho ! excuse-moi, je ne suis pas très présentable, je réponds en cachant l’érection matinale. Marisette vient vers moi en me tendant la joue en se penchant en avant et me permettant de voir sa délicieuse poitrine en poires. - Hum, qu’est-ce que tu sens bon ce matin. Tu as mis quel parfum ? - Tu me fais une petite place ? Dit-elle en s’asseyant à côté de moi. Je me tire de côté et elle s’allonge en mettant ses mains derrière la tête, ce qui remonte ses seins et dévoile ses aisselles odorantes, elle me prend la tête et la place sur sa poitrine en la serrant dans ses bras. - Comment trouves-tu mes seins ? - Si tu me serres contre, je ne peux que te dire : confortable. Elle desserre son étreinte et prenant de la distance, je peux lui répondre - Tata, d’après ce que j’en vois, ils sont un peu aplatis quand tu es sur le dos, mais je me souviens que quand tu es venue, ils me semblaient très jolis, mais je n’ai fait qu’entrevoir. - Petit cochon, tu aimerais les voir ? Fait-elle en enlevant le dit déshabillé et se présentant intégralement nue, moins une petite culotte. - Cela correspond bien à ce que j’ai vu, ils sont très beaux, je réponds en me forçant à avoir les yeux au bout de mon nez. - Tu aimerais les toucher, tu en as déjà touchés ? - Oui deux fois, j’ai déjà touché des seins de mes copines de classe, ...

... mais ils n’étaient pas aussi beaux que les tiens et surtout, je n’en ai jamais embrassés. - Si tu veux, tu peux me téter le sein, mon bébé. Sans attendre, je saisis entre mes lèvres les tétons et les aspire avec délice, tout en pressant délicatement le sein, comme pour donner du lait. Je constate que rapidement, elle prend bien un plaisir fou à ce jeu et le devant de son slip s’orne d’une belle tache d’humidité, mais je fais celui qui voit rien et lui laisse mener le jeu. - Chéri, je ressens agréablement tes baisers, mais on voit que le lait ne vient pas, peut-être que tu aimerais de la crème ? - Comment ça ? - La même que tu lèches dans mes culottes. - Ah ! Tu sais que je te les chipe pour me branler dedans ? - Oui, bien sur, c’est pour cela que je les mets toujours sur le dessus du panier de linge sale quand tu viens me visiter et chaque fois il y a une belle couche de sperme par-dessus. Elle enlève son slip et me le jette à la figure. Effectivement, elle est bien odorante, avec une petite odeur d’ammoniaque en condiment, souvenir de son pipi matinal. - Maintenant, viens te régaler, la crème est toute fraîche. - Mais tu es ma tante ! - Quand tu léchais mes culottes, tu pensais que c’était celle de ta tante ? - Non, tu as raison, mais je ne sais comment, c’est plein de poils et j’ai peur de te faire mal. - Tu mets ta langue au milieu et tu commences à lécher autour du trou, ensuite, tu remontes jusqu’à trouver mon bouton et là, tu le suces, comme si c’était un bonbon, du reste ...