1. Promenade à vélo (1)


    Datte: 06/08/2019, Catégories: Lesbienne

    ... m’approche et scrute ses seins qui dilatent le haut de son déshabillé. — Vous voyez qu’ils sont jolis vous n’avez pas voulu les voir hier Arrivée au bord du canapé, je me plante jambes écartées devant Sophie ce qui fait remonter ma jupe et dévoile la dentelle du haut de mes bas. j’ouvre énergiquement mon corsage laissant échapper mes deux seins aux tétons déjà tendus. — Joli ! me dit-elle, Si hier j’étais une effrontée au jour d’Hui vous êtes une salope Je me penche vers elle, lui saisis sa chevelure et plaque ma bouche contre la sienne. Sa langue entre la première et nos deux langues s’enlacent. Sophie se lève du canapé et me saisit la chatte en introduisant directementdeux doigts dans mon con. Prise au piège car je n’imaginais pas d’aller plus loin, je me laisse faire et commence à avoir des sensations très fortes, si fortes que l’orgasme vient rapidement. — Tu viens de jouir salope tu es trempe, donne-moi ton jus. Sophie descend lentement jusqu’à monentrejambe, me suce abondamment en aspirant mon clito. C’est si bon je gémis de plaisir j’envoie une énorme décharge de Cyprine dans sa bouche. — N’avale pas Sophie, donne-moi mon jus dans la bouche Soudainement, la porte s’ouvre la tante est là habillée cette fois. — He bien Sophie ! je savais que tu te masturbais fréquemment mais te voir dans cette position ! — Oh ma tante, j’ai tellement fantasmé sur votre poitrine et votre chatte que j’entrevoyais dans la salle de bains qu’il me fallait trouver une partenaire — Si tu m’en ...
    ... avais parlé, nous aurions pu en discuter… — Madame j’espère que vous avez pris du plaisir ? vous avez un très joli corps La tante referme la porte et sort. — Arrêtons là Sophie. Je suis déconcentrée. Mais nous nous reverrons, je t’appellerai Je remets mes habits en ordre, ambrasse Sophie sur la bouche et me retire. En partant, je croise la tante qui m’interpelle. — Vous m’avez excitée toutes les deux, ça fait longtemps que je voulais baiser ma nièce mais j’avais une certaine retenue me contentant de me branler en rêvant que je la faisais jouir. Pendant que la tante me parlait, elle promenait ses mains sur mes hanches et progressivement descendait au bas de ma jupe. J’avais les yeux rivés sur son opulente poitrine qui dilatait son corsage. Je me laissai faire sentant monter en moi un désir inassouvi de ma précédente expérience. Une main se fit plus précise en fouillant jusqu’à ma chatte. Et l’autre en sortant un sein de mon corsage. Je sentais que je mouillais. — Viens dans ma chambre, on va se gouiner J’ai dit que je n’étais pas lesbienne mais ce petit jeu m’émoustillait particulièrement. Nous allons donc dans sa chambre et là sans se déshabiller, nous laissons nos mains et nos langues utiliser tous les trous qu’elles rencontrent. Nos orgasmes violents et sonores avaient alerté Sophie qui avait assisté en cachette à une partie de nos ébats. Elle était allée chercher son gode ceinture, une belle queue noire, et se présenta les armes à la main. — Maintenant mes salopes, je vais ...