1. Kristine 10 Et aussi dans les bois


    Datte: 06/08/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... passe sous ma jupe et trouve une intimité bien humide, alors sans perdre de temps, il me retourne, relève ma jupe sur mes fesses, sort sa queue et me pénètre. Je ne dit rien. Il commence à me labourer, bien profond, claquant mon pubis sur ses fesses. -Alors tu aimes ? Un petit oui sort de ma bouche. -Je n’ai rien entendu Kristine. -Oui. -Tu peux parler plus fort, il y a personne dans cette forêt. - Et les promeneurs de tout à l’heure?Je me vais pas hurler quand même, on pourrait nous entendre ? -Si justement, exprime toi. Il s’active de plus en plus, ses mains malaxent ses seins, me titillent le clitoris. -Alors tu aimes ? -Oui -Plus fort -Oui. Oui c’est bon. -Tu en veux encore alors ? -Oui encore. -Plus fort, je veux t’entendre prendre ton pied. Je m’active avec force pour le sentir cogner le fond de matrice. -oui Oui Oui OUI OUI ENCORRREEE, -Tu aimes te faire baiser? -OUI J’AIME COMMENT TU ME BAISES ?OUIIIIII Je jouis en même temps que lui me remplissant bien la chatte de son jus. -Tu te rends compte de ce que tu me fais faire, on aurait pu être surpris, être vu. -Et alors…. Tu as pris ton pied et tu ...
    ... l’as enfin exprimé, c’est le principal. -Maintenant je fais comment sans culotte, ça va couler. J’ai la tête en feu. Pleine d’images obscènes. J’en veux encore et encore. Le démon en moi s’est réveillé. Il s’agenouille, écarte mes cuisses et fourre ma langue dans mon intimité et nettoie le jus dont il m’a inondé. Il en étale aussi sur mes seins. Pour lui montrer que je suis une vraie chienne commence à bouger plus par provocation que par excitation sexuelle . Tout se passe dans ma tête. Il n’est plus le seul homme. J’imagine qu’un voyeur me maltraite les seins. Je tire sur mes mamelons. Mes yeux sont fermés. Maintenant il sont plus nombreux tout autour. Des hommes qui se branlent en me regardant. Ses doigts pénètrent mon petit trou. Je bouge mon cul pour mieux les sentir. Je suis encore excitée en bas, bouillante de fantasmes de soumission en haut. J’en jouit une deuxième fois. Je me tiens sa tête entre mes mains. - Je vais jouir, arrête… ahhh ouiiiiii Nous retournons sur nos pas et allons déjeuner. Durant ce repas nous reparlons de notre promenade coquine. J’ai adoré, même si je n’ose pas tout lui avouer. 
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