Plaisirs inavoués (Partie 1)
Datte: 02/09/2017,
Catégories:
Lesbienne
Mature,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... trouvée sensuelle au possible...- Oh, mais tu deviens coquine...- J'ai trop bu, je crois... Ca me donne des pensées...- Moi aussi, je suis bien avec toi, une amie de longue date comme tu dis... Avec ta gaité, ton sourire, ton aplomb... Je serais capable d'aller n'importe où maintenant, te présenter aux plus hauts acteurs de notre société. Tu fais merveille... Je ne regrette pas d'être venue...- Merci... Bonne nuit. On ira promener demain matin dans la montagne, et l'après-midi on se fera un SPA ensemble et on ira se reposer près de la cheminée... J'aime le feu de bois que mon père allume systématiquement en soirée, même en été parfois. D'ailleurs on dirait que ça sent la fumée...On écoute, le silence, je sens une douce odeur de bûches, je les imagine craquant et lançant quelques flammèches bloquées par le pare-étincelles...Manon se lève sans aucun bruit, ouvre la porte... Le même craquement, les escaliers, puis elle revient...- Marika, j'avais raison, le feu crépite, ils ont tout éteint, c'est un enchantement... Tu veux voir ? On peut regarder sans descendre, par le bureau...La fumée me plaît, j'aime son odeur... Dans la nuit presque complète je lui fais confiance, elle me guide par la main...Nous pénétrons dans une pièce aux senteurs subtiles, de bois, de papier, des livres alignés sur des rayons... Une porte-fenêtre intérieure donne sur une mezzanine qui domine le salon... On se glisse lentement, mais la mezzanine nous cache l'âtre...Elle ouvre, se glisse la première. La ...
... mezzanine comporte un meuble campagnard, rustique, confiturier, le balcon large d'un plus d'un mètre en lattes de bois sculptées est décoré de dessins simples, coeurs, sapins, cerfs, fleurs, plantes, symbolisés. Joli...Un rai de lumière danse sur le mur en face, reflété sans doute par une glace...On perçoit le crépitement du bois, puis un autre bruit. A quatre pattes, nous nous dirigeons vers le fond du salon, en-dessus de la cheminée.Le bruit sourd s'amplifie... C'est un fond de musique très faible... On reste là, sur le plancher de lattes... Une voix...Instinctivement, nos yeux cherchent la source... Sous nous !...Les lattes du plancher ne joignent pas, à l'ancienne, comme celui d'un balcon servant à sécher des récoltes ou d'autres produits de la ferme...La musique se calme, s'en va... Laissant place à un autre son, plus doux, plus profond...Un gémissement langoureux, un feulement qui s'amplifie, qui devient râle, qui se réverbère sous la voute du plafond, nous revient...Nous regardons, penchées sur les lattes... Nous distinguons deux corps enlacés, le femme écartelée, puis la tête qui, entre ses cuisses savoure son intimité... Elle semble atteindre un palier, celui d'un plaisir certain... Elle s'abandonne, relevant ses cuisses et s'offre clairement à son compagnon...Je regarde Manon, hypnotisée par ce quelle voit... La tête tournée pour avoir les yeux dans les interstices. Son peignoir est ouvert, j'aperçois ses seins dodeliner, suivant ses mouvements. Les mains posées ...