1. Le plus naturellement du monde


    Datte: 06/08/2019, Catégories: ff, 2couples, fbi, jeunes, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Oral 69, double, init, initiatiq, nature,

    ... Je me couchai alors sur ma belle flamande et m’enfonçai en elle. (Je te passe sous silence la mise nécessaire d’un préservatif, protections que nous avions et qu’elles avaient aussi, de quoi baiser sans retenue et sans risque pendant toutes les vacances). Elle gémissait de plaisir. Je pus tenir longtemps ayant déjà éjaculé une première fois. J’allai profondément en elle. Puis je me retirai et malgré ses protestations, je m’occupai à nouveau des ses adorables tétons, les léchant, les tétant, les embouchant. Puis je redescendis vers son sexe qui avait perdu le goût salé de l’eau de mer pour prendre celui de la cyprine. J’allai faire un petit tour par son cul pour lui prodiguer de ce côté-là aussi quelques manipulations digitales. Et repris ma queue pour l’enfoncer en elle vigoureusement. Cela lui arracha un râle qui ne pouvait être que de plaisir. Je l’astiquai ainsi durant un bon moment. Mais je me retirai une nouvelle fois pour prendre ma partenaire différemment. Je substituai la position en levrette à celle du missionnaire. Cela me permettait d’avoir une vue imprenable sur le trou de son petit cul, je ne pus résister au plaisir d’y enfoncer un puis deux doigts ce qui décupla la jouissance de Fanny. Elle eut un premier orgasme alors que j’allais toujours en elle. Le temps qu’elle reprenne son souffle, je ne sortis pas de son vagin, mais je minimisai mes mouvements. J’en profitai pour regarder où en était l’autre couple. Fred était au-dessus du corps de sa complice et lui ...
    ... couvrait le ventre et la poitrine de son sperme, tous deux étaient comme en transe. Quand je sentis que Fanny était prête pour une nouvelle chevauchée, je repris mon va-et-vient en elle. Comme elle s’était écroulée lorsqu’elle avait eu son orgasme, je décidai de rester derrière elle, mais l’un à côté de l’autre en chien de fusil : ce qu’on appelle la position des cuillères dans le Kamasoutra. Cela me permettait d’embrasser ma belle amante dans la nuque tout en lui caressant le clitoris. Parfois je remontais jusqu’à ses seins que je malaxais sans vergogne. D’autant plus qu’elle semblait aimer ça. Je sentis que ma jouissance n’était pas loin, pourtant, je ne voulais pas la laisser là en plant, il fallait que je lui fasse atteindre à nouveau le nirvana avant de juter en elle. Heureusement, elle ne fut pas longue à pousser un rugissement tout en frappant le sable de la main. Je lâchai alors la bride à mon plaisir et communiai avec elle dans un orgasme d’une rare intensité. Je n’eus pas le temps de me retirer comme Fred et c’est en elle que je lâchais mon jus… enfin, dans le préservatif. Je peux te dire, sœurette, que le reste des vacances ne fut pas triste. Nous vivions quasiment en permanence nus, tantôt faisant l’amour sur la plage, tantôt dans la mer. Parfois, nous changions de partenaire, moi limant Thérèse tandis que Fred s’occupait de Fanny. Nous alternions coïts vaginaux et anaux à la demande et pour le plus grand plaisir de ces deux furies du sexe. Elles aimaient goûter nos ...
«1234...14»