1. Les serpents font bien les choses ( cocu ) 1


    Datte: 02/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Inceste / Tabou

    Auteur : JeanpasOn arrivait à la terrasse par un escalier de pierres irrégulières. De là, on voyait d’un côté la maison, de style moderne, avec son auvent qui ouvrait sur le séjour, et de l’autre une pente douce qui descendait vers un jardin en grande partie mangé par la piscine. D’immenses pins parasol protégeaient cette partie du terrain du soleil brûlant du mois de juillet. Au loin, sur la mer, des navires glissaient paresseusement, on aurait cru des mirages déformés par la chaleur.Jean et Rose se prélassaient sur les matelas disposés sur la terrasse, et profitaient de l’ombre de l’auvent en ne faisant rien. Ou plutôt ils lisaient tranquillement en attendant le retour des propriétaires des lieux.Quelques semaines plus tôt, Isabelle, la cousine de Jean, leur avait téléphoné pour leur proposer de venir s’installer chez elle pendant qu’avec son mari elle partait en bateau comme tous les étés. Avec la maison occupée, le risque de cambriolage était beaucoup moins grand. Cette fois, ils avaient décidé de faire une croisière avec trois autres couples d’amis autour de la Corse, avec un petit tour en Sardaigne. Leur voilier pouvait abriter une petite dizaine de personnes, ils en étaient très fiers.Pour Jean et Rose, c’était une aubaine, jamais ils n’auraient pu s’offrir trois semaines de location près de la mer, avec piscine, à quinze kilomètres de Marseille.Jean se sentait dans son élément, il nageait dans la piscine, se faisait bronzer et évacuait la tension d’une année de ...
    ... travail et des dix heures de route de la veille. Rose appréciait la chaleur mais ne pouvait souffrir les rayons du soleil. Elle avait depuis la fin de son enfance un vitiligo. Cette maladie bénigne avait d’abord provoqué l’apparition sur son corps de taches blanches qui s’étaient élargies au fil des années, jusqu’à couvrir la totalité de sa peau. Elle ne pouvait s’exposer au soleil directement sous peine de brûlures rapides et sa peau restait d’une blancheur diaphane. Par contre, comme Rose avait dû se protéger un bonne partie de sa vie, elle avait, à cinquante ans, une peau d’une finesse et d’une douceur que bien d’autres femmes souvent plus jeunes lui enviaient.Pour l’heure, les cousins et leurs amis arrivaient du port ou ils avaient commencé à préparer le bateau, ramenant avec eux le repas du midi, pour le plus grand plaisir de Jean dont l’estomac criait famine. Pendant les vacances, salades et viandes grillées composaient l’essentiel des repas.Pendant le repas, Isabelle leur exposa une idée qu’elle ruminait depuis un moment : — Le bateau me semble prêt, mais on doit attendre l’arrivée de Gilles et Sarah pour partir et ils ne seront là qu’après-demain. Pourquoi ne pas se faire une sortie demain, on pourrait aller du côté des îles du Frioul ou vers les calanques de Cassis. On pourrait même mouiller pour la nuit dans une calanque et revenir dans la journée du lendemain, comme ça on serait sûr de ne rien avoir oublié pour la croisière ?Tous étaient enthousiastes, ils décidèrent ...
«1234...9»