1. L'histoire de la truie : la truie partagée


    Datte: 08/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Le weekend était enfin là. La fraicheur du temps de mars s’insérait partout, y compris dans les humeurs mais sans atténuer celle qui me torturait le vagin ni mon excitation, sexuelle comme psychologique : en effet j’étais au rendez-vous à Genève avec Joël pour nous rendre « à une surprise » comme m’avait dit mon mâle dominant. Je m’étais apprêtée : robe noir, sous-vêtements rouges, fard à paupière et rouge à lèvre. Un peu de parfums et je m’étais totalement épilé, anus compris. J’espérais qu’il serait excité à ma vue et me souillerait comme la dernière fois. J’attendais impatiemment sa venue. Enfin je le vis arriver, habillé sportivement, marchant crânement vers ma voiture, toujours aussi beau, toujours aussi séduisant. « Mon Dieu, comme un homme tellement beau gosse peut-il être aussi cochon, aussi pervers… ». Je lui fis signe et roulais à son niveau. Il entra dans la voiture et sans un mot, il m’embrassa goulûment, en flattant mes grosses cuisses. « Belle vache bien viandeuse. Comme je les aime. » furent ses seuls mots, toujours aussi dégradants mais néanmoins qui avaient le don d’allumer un brasier dans ma culotte, entre mes cuisses et entre mes fesses graisseuses. Nous redémarrâmes et roulâmes en direction de la ville. En roulant, il sortit son pénis hors de son pantalon et à chaque feu rouge, il me prit la main et entreprit de se faire plaisir avec mes doigts. Je le masturbais fortement et à une intersection, je le suçais. Je vis soudain qu’un chauffeur nous regardait ...
    ... avec un sourire pervers aux lèvres. Je voulus me retirer mais Joël m’enfonça plus profondément sur son membre violet, tout en souriant d’un air entendu au chauffeur. Il ôta le haut de ma robe et mes seins furent exposés aux automobilistes. Enfin, le feu passa au vert et nous redémarrâmes. J’avais eu honte d’exposer mon gros corps mais sentir son excitation et faire quelque chose d’interdit m’avait paradoxalement rendu plus chaude… Enfin nous arrivâmes à destination. Une banlieue de la ville, urbaine, faite de grands immeubles, avec quelques places de parc. Mon beau latino me fit garer sous un des ponts qui reliaient les immeubles entre eux et je sortis de ma voiture après m’être rajusté. Nous nous dirigeâmes vers un endroit et je me sentis troublé en lisant l’intitulé : sauna libertin. J’avais entendu parler de ce genre d’endroit mais je ne savais pas à quoi m’attendre. Il entra, et salua le caissier : je suppose qu’il était habitué de cet établissement et une flamme de jalousie s’alluma. En entrant, je remarquais quelque couple mais énormément d’hommes seuls : aucun d’entre eux n’avais moins de 40 ans et la plupart était tous plutôt bedonnant, pas forcément beaux… Leur regard en disait long sur leur perversité, surtout quand ils m’aperçurent et un groupe d’homme me suivit jusqu’au vestiaire. Il n’y avait pas de cabine, inquiète, je me tournais vers Joël mais il se déshabillait déjà. Je l’imitais et morte de honte, ôtais mes habits devant ces hommes au regard si sale. Nous ...
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