1. Le club des nymphes - tome II (8)


    Datte: 08/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ravi que vous ayez accepté d’amener vos recrues ici, me fait le masque souriant. Vous n’aurez pas à le regretter, j’en suis sûr. Reconnaissant cette voix, je réponds : — Bien évidemment, Monsieur le directeur. Les autres tournent autour de nos recrues afin de les admirer sous tous les angles. Un air de musique classique se fait doucement entendre. Un des hommes en cape rouge, portant un masque triste, prend la main d’Ondine et l’invite à danser. Peu de temps après ses compagnons l’imitent, et bientôt toutes les nouvelles sirènes ont un cavalier. Povin me propose une danse que je me vois mal lui refuser. Il reste deux masques qui n’ont pas de cavalière, un mécontent avec une belle panse et un peureux. Ces deux-là proposent à Sandrine et Natacha de les rejoindre. Nous tournoyons ainsi au rythme de la musique. Les masques sont des danseurs accomplis qui parviennent à guider parfaitement leur cavalière parfois peu expérimentée. Certaines filles commencent à se détendre ; Morgane et Lorelei sont celles qui ont l’air de mieux maîtriser l’exercice. Par moments, nous changeons de partenaire. Je me retrouve ainsi à danser avec le triste, puis un masque joyeux. kxgkyyai Puis les notes de musique se taisent et maintenant les capes rouges invitent nos recrues à les suivre sur les sofas. Certaines, comme ma fillote, se retrouvent assises sur les genoux d’un type. D’autres se retrouvent encerclées pardeux hommes. Certaines ne semblent pas encore tout à fait à l’aise, alors nous prenons ...
    ... l’initiative avec mon équipe de leur servir à boire pour les aider. Les discussions commencent. Des masques interrogent les filles sur leurs passions, leurs cours. D’autres restent silencieux et commencent doucement à caresser les cuisses de la sirène assise sur leurs genoux. C’est le cas du triste qui s’occupe de Lorelei. Je jette un regard vers elle pour m’assurer que tout va bien. Elle semble déterminée à se laisser faire. Après ce qu’elle m’a montré avec mon parrain, ça ne m’étonne pas d’elle ; je lui fais confiance pour la suite. — C’est quoi, le délire de ces types ? me demande discrètement Sandrine. Pourquoi ces capes et ces masques ? — Bah quoi ? Cela doit faire partie de leurs traditions, tout comme nous nous avons l’initiation et les différentes cérémonies. Il n’y a pas de quoi en faire tout un plat. — Parce que tu ne trouves pas ça glauque, toi ? On ne sait même pas qui sont ces gens, et on leur envoie nos fillotes ! — Je ne vois pas où est le problème : tout à l’air de bien se passer pour le moment, et puis les filles ont donné leur accord. Nous avions bien les yeux bandés lors de notre initiation. — Oui, mais au moins nous savions que nous sucions des élèves de notre école. Là, ça pourrait être n’importe qui derrière ces masques. — Si ça peut te rassurer, Povin m’a affirmé qu’ils étaient tous des hommes très influents, que ce soit politiquement ou économiquement. T’as bien vu la baraque que se tape Povin : il a même des domestiques ! Tu crois vraiment qu’il gagne ...
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