Ma femme baisée par un chien sur la plage (2)
Datte: 23/06/2017,
Catégories:
Zoophilie,
... maillot, et caressait sa bite qui avait atteint une taille hors du commun, longue et bien grosse, avec un gland encore plus large que la hampe pourtant déjà bien large. Il regardait son veinard de chien lécher cette moule qui coulait d’autant plus qu’il la lapait. On regardait donc tous les deux cette langue envelopper tout l’entrejambes de ma chérie dans un mouvement ascendant, qui partant de son cul se terminait sur son ventre après bien sur avoir fait son effet d’un plaisir dévastateur sur sa chatte. Voyant qu’elle ne quittait pas son chibre tendu du regard, il s’agenouilla à côté de ma femme pour qu’elle puisse enfin s’en saisir et se mit à lui caresser ses petits seins tout pointus. Il faisait rouler ses pointes entre ses doigts la faisant gémir encore plus fort. Elle, voulant l’attirer vers sa bouche, se contorsionnait pour ne pas perdre le bénéfice du plaisir que lui procurait le chien avec sa langue mais voyant que sa position n’était pas idéale pour cela, je lui dis de se mettre à genoux pour que l’animal puisse s’occuper du bel os à moelle qu’il avait trouvé : sa petite chienne ! otuoyyhg L’animal la voyant dans cette position de chienne prête à saillir, vu la taille réduite de mon amour de salope, n’eut qu’à s’avancer pour se retrouver les pattes de devant de part et d’autre de ma femme et avoir ses fesses bien placées pour une saillie en règle. Ma queue me faisait mal tellement elle était dure tant j’étais excité de voir ma femme transformée en chienne prête à ...
... se faire monter par cette bête en rut et en plus devant un inconnu. Je dirigeais moi-même la queue pointue de la bête dans le con de ma femme et laissais faire l’animal excité. Dès qu’il sentit sa queue rentrer dans le ventre de ma femme, il se mit à la pistonner à toute vitesse, et je vis, incrédule, la pine d’abord fine, grossir démesurément dans le con accueillant de ma salope de femme pour devenir un gros gourdin rouge avec une boule énorme à sa base, puis je vis, je le croyais pas, cette boule entrer dans sa chatte dilatée. Toute à son plaisir, elle s’était arrêtée de sucer la queue du type pour se concentrer sur ce qu’elle sentait : un chien était en train de la baiser et en plus elle aimait sentir cette queue qui lui semblait énorme, qui giclait dans son ventre des flots de foutre bestial bien chaud. Elle râlait de plaisir et, en serrant les cuisses, maintenait le molosse prisonnier des contractions de son vagin. Elle sentait cette énormité répandre son foutre comme de la lave liquide dans son ventre à n’en plus finir et la remplir de sperme animal. Quand enfin il se libéra de son emprise, un flot de jus canin sortit de son con de chienne et elle s’effondra sur sa serviette sans lâcher la bitte raide du gars, à laquelle elle était accrochée. Nous étions deux à n’avoir pas encore joui et à être bandés à mort, excités comme des fous par ce à quoi nous venions d’assister, par cet accouplement superbe de la belle et de la bête. L’animal, bien qu’aillant joui, vint derrière ...