1. Retour à la nature


    Datte: 08/08/2019, Catégories: f, fhh, jeunes, inconnu, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, entreseins, Oral fgode, préservati, pénétratio, double, ecriv_f,

    ... j’ai repris son sexe en bouche et j’ai continué à le sucer. Il a éjaculé rapidement, de longs jets de foutre chaud me remplissaient la bouche. En ayant avalé un peu je me disais que c’était finalement très bon et j’avalais le tout et nettoyais tout le sperme qui restait sur le sexe de Fred. Ensuite, allongée dans l’herbe, je demandais à Quentin de me pénétrer. Il me répondit qu’il n’avait pas de préservatif et qu’il ne pouvait pas. Fred avec un grand sourire, partit chercher sa trousse de secours et tendit à son ami un petit sachet. Quentin ne se fit pas prier, et une fois protégé il commença à me limer. Je le guidais pour l’économiser un peut et en profiter le plus longtemps possible. Fred, à nouveau au garde à vous me tendit sa queue que j’embouchais voracement. C’était formidable, ces deux sexes pour moi, le contact de l’herbe sur mon corps, c’était incroyable et je ne tardais pas à jouir. Fred remplaça Quentin qui approcha sa bite de ma bouche, je le débarrassai du préservatif avant de le sucer pour qu’il jouisse dans ma bouche. Il ne tarda pas à exploser et le sperme coulait de ma bouche. Il essuya son sexe sur mes seins que je caressais, étalant le liquide poisseux. Fred éjacula en moi alors que je me pinçais les tétons, il sortit sa bite de mon minou et je me jetais aussitôt sur le préservatif pour l’enlever et le vider sur mes seins. Ensuite j’essayais de lécher les pointes recouvertes de sperme. Je ne me reconnaissais plus et les deux lycéens étaient fous : — Quelle ...
    ... salope, j’y crois pas !— En plus on a plus de préservatifs… N’y tenant plus je leur demandai de me baiser avec les doigts, leur langue ou tout ce qu’ils pourraient trouver. C’était merveilleux, ils me léchaient, me caressaient, me doigtaient. Quentin, s’enhardissant, commença à me masser l’anus. Je n’appréciais en général cette caresse que lorsque j’étais seule mais là, je lui demandais de me doigter — Oui, mets-moi ton doigt, lèche-moi ! Ils me rendaient folle, je n’en pouvais plus, je branlais leurs queues entre mes seins en lapant le gland dès qu’il s’approchait de ma bouche. Fred s’absenta un moment et revint avec un gros sourire, cachant quelque chose dans son dos.— Qu’est ce que c’est ?— Devine— Des préservatifs ?— Non, hélas, mais quelque chose qui te réconforteras ! Et il me montra une lampe de poche métallique qui semblait faite pour ça.— Attention elle est grosse, allez-y doucement ! Et il m’enfonça centimètre après centimètre sa lampe de poche dans la chatte. C’était absolument divin, Quentin recommença à me doigter le cul et je me mis à quatre pattes et leur demandais s’il n’avaient rien de mieux que des doigts pour mon cul. La lampe était trop grosse mais ils me proposèrent une canne de marche télescopique à laquelle ils avaient enlevé la poignée en mousse. Je les suppliais de me goder, de me défoncer. Jamais je n’avais parlé comme ça, je n’en revenais pas, j’étais à quatre pattes dans l’herbe, les jambes écartées, le cul à l’air et ils me pilonnaient la chatte ...
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