1. Variations


    Datte: 02/09/2017, Catégories: fh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, volupté, fsodo, init,

    Chap. VII - VARIATIONS Quelques jours après, nous avons réussi à nous échapper à nouveau avec les vélos. Cette fois, c’est moi qui demande: — On retourne à la grange ?— Ah bon ? Pourquoi ?— Parce que tu m’as rendu obsédé. Une fois arrivés, on prend soin de bloquer la porte, et on se déshabille fiévreusement mutuellement. Nous sommes très vite nus, je la prends dans mes bras, la caresse, pétris ses fesses. Elle s’échappe, et monte dans la grange. Je profite du rare spectacle d’une femme nue qui monte une échelle, et la rejoins. Elle est déjà couchée dans le foin, elle a écarté les jambes : — Viens, me dit-elle Je m’agenouille entre ses cuisses, prends son bassin et le tire vers mois. Ses fesses sont posées sur mes cuisses. Mon sexe est dressé, tout contre son sexe à elle. Je me plaque bien contre elle, caresse son visage, ses épaules, son buste, ses seins, son ventre. Je lui demande: — Retourne toi Elle se met à plat ventre, et je m’agenouille de part et d’autre de ses cuisses, et commence à lui caresser le cou, à la racine des cheveux, les épaules, puis le dos. Je lui fais une longue caresse en descendant du cou à la raie des fesses. Puis la taille et le bord des seins écrasés sur le sol. Elle est étendue, la tête de côté sur ses bras repliés. Elle sourit… Je m’intéresse à ses fesses. Je les caresse, insinue mon doigt dans le sillon, les écarte, aperçois son petit trou, et je caresse. Mon sexe est posé dans le sillon entre ses fesses. Je les écarte un peu et en enserre mon ...
    ... membre. Une bien douce rampe de lancement. Mais depuis l’autre soir je suis complètement obsédé par son cul, et j’ai une autre idée en tête. Je me dégage sur le côté : — Ecarte les cuisses, très fort. Elle obéit, j’insinue le tranchant de la main contre son sexe. — Ecarte encore.— Je ne peux pas plus.— Alors soulève tes fesses. Elle se met dans la position de l’autre soir avec Sophie, la croupe en l’air, les genoux un peu écartés, la tête sur ses bras repliés. C’est la position du sexe triomphant qui se montre glorieusement dans la plus totale indécence. Mais cette fois, c’est pour moi, et je ne suis plus du tout gêné. Je me repais du spectacle, cette vulve largement ouverte, et ce petit trou entouré de cette peau si douce. — Est ce qu’on t’a déjà dit que tu avais un cul somptueux ?— C’est ce qu’on me dit toujours, plaisante-t-elle. Je me place derrière elle, l’enserre de mes bras, mes mains vont chercher ses seins. Elle frémit. Je prends un peu de recul, regarde encore, donne des petits baisers sur sa vulve, et puis je commence à prendre doucement possession des lieux, comme Sophie. Tout doucement, je caresse son petit trou, et tout autour. La peau est si douce, si douce… Je lui donne de petits coups de langue, comme pour l’apprivoiser. Puis je le lèche à grands coups, sans retenue. Tout doucement, je pose mon doigt sur l’orifice. Je n’ose pas appuyer. Je fais comme j’ai vu faire Sophie: je mouille mon doigt et le fait pénétrer, très délicatement. Mon cœur bat à tout rompre. ...
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