Jeux entre frères (4)
Datte: 09/08/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... et encore un troisième ; la jouissance était extraordinaire. J’étais secoué par les spasmes du bonheur, ma tête me tournait ; que c’était bien. Les jeux entre mon frère et moi ne m’avaient jamais apporté un tel plaisir. Il était rempli de miel, doux comme du coton ; j’étais dans les nuages. Oh ! Que c’était bon ! Elsa se retourna et s’allongea sur moi ; ces lèvres touchèrent les miennes, gourmand, j’ouvris la bouche. Elle me rendit ce qui m’appartenait dans une galoche monumentale, avec ce mélange de salive et de sperme. J’avais du mal à ne pas vomir. — Avale, me souffla-t-elle. Ce que je fis immédiatement. La situation et le goût de ce mélange infâme avaient fait retomber mon érection. Mais la galoche et le frottement du pubis de mon professeur raviva rapidement ma flamme ; je bandais dur à présent. — Tu vas me sucer la minette et quand je te dirai de venir, tu viens en moi. À l’aveuglette, je fis connaissance avec sa minette ; elle avait une odeur particulière et envoûtante. Je passai ma langue sur cet endroit totalement inconnu, il était humide et chaud. Au toucher, je découvris ses grandes et petites lèvres ; ma langue entra dans une cavité toute douce. J’aspirais le liquide qui en sortait, légèrement collant, il avait un goût un peu âpre. Je sentais le corps d’Elsa onduler sous moi. Elle avait repris mon sexe en bouche et me léchait le gland qu’elle avait totalement découvert, puis elle l’engloutit et mon gland touchais le fond de sa gorge. Elle ondulait de plus en ...
... plus sous les effets de ma langue ; j’étais ravi de l’effet que je lui faisais, puis, me tapotant sur la fesse, elle me souffla mot magique : « Viens ! » Je me retournais rapidement et me plaçai entre ses cuisses ; le moment fatidique approchait, mon cœur battait la chamade, enfin j’allais connaître le plaisir de la pénétration. Elle passa sa main entre nous deux, s’empara de mon sexe et le guida vers l’entrée de son écrin puis, elle m’agrippa les fesses et me tira en elle. Ma verge coulissait doucement à l’intérieur de son vagin, largement lubrifié, il coulissant presque tout seul. Mon gland glissait contre les parois de son vagin ; c’était tout doux, bon. Pendant un court instant, je me suis arrêté pour savourer cette sensation. J’écrasais ses seins contre mon torse, son pubis frottait le mien et je lui offris mes lèvres qu’elle accueillit en ouvrant sa bouche. Je pris sa tête entre mes mains et j’enfonçai ma langue gourmande dans sa bouche ouverte ; nous avions mélangé nos salives puis elle se dégagea : aymappnv — Ça va ? me demanda-t-elle. — Oui, c’est super. — Alors montre-moi que tu es un homme maintenant. Elle plaça ses mains sur les côté de mes fesses et me donna la cadence. Doucement au début, ma verge sortait presque en totalité de son écrin puis, elle me faisait lui donner de petits mouvements, juste à l’entrée de son vagin. Je sentais l’excitation monter de plus en plus fort, quand elle me libérait, je m’enfonçais en elle ; j’avais compris et je reproduisais le ...