1. Impulsions comateuses (4)


    Datte: 09/08/2019, Catégories: Divers,

    ... d’accord, je vais voir le Docteur Canfre, dit Karine d’une petite voix. Lorsqu’elle entra dans la chambre, son fils avait repris sa lecture. Elle se mit à sa gauche au même endroit que précédemment. — Toujours en train de rattraper tes franchises. Il regarda sa mère, passa sa main gauche sous sa jupe et dit : — Oui mais je suis un peu déçu une de mes préférées n’est plus traduite et j’ai quelques agacements sur d’autres. Il indiqua de sa main droite une pile de livres où chacun avait un marque-page vers le milieu du livre. Il enfonça de nouveau les deux premières phalanges de son majeur. Isabelle ne fit rien pour l’arrêter mais soupira. — Tu sais que tu ne dois pas faire ça ? Théo leva les yeux au ciel. — Je sais, acheter un livre et ne pas le lire jusqu’au bout ce n’est pas terrible. Mais les histoires sont pauvrettes et pas très bien écrites, ou bien mal traduites, dit-il en haussant les sourcils. Il secoua la tête et commença un va-et-vient avec son doigt. — Ce n’est pas encore pour aujourd’hui le renouveau de la fantaisie légende. Sa mère ferma les yeux exaspérée et lui dit : — Je parle de ta main sous ma jupe. — Allons, pas encore avec ça ! Tu en as besoin. Tu es nerveuse en ce moment à cause de moi. Tu vas voir c’est bon pour ce que tu as. Il rentra l’annulaire en plus et les enfonça au maximum. Isabelle prit appui sur le lit pour ne pas s’écrouler. — Souviens-toi des consignes de la psychologue. Tu ne dois pas faire ça. — Ah oui ! Fit-il avec un regard complice. Mais ...
    ... moi je parie que tu as dormi comme une marmotte après la dernière fois. En plus des va-et-vient, il colla son pouce sur le clitoris de sa mère et fit des petits cercles. Isabelle ouvrit grand la bouche et ferma les yeux. Elle se dit qu’elle n’y arrivait pas et qu’elle ne pouvait y résister. Il la touchait juste là où il fallait. — Alors tu étais reposé après ton orgasme ? Demanda-t-il avec un sourire complice. Elle hocha la tête, ses hanches se mouvèrent sans son accord. Elle ouvrit les yeux et son regard plongea dans celui de son fils. ... ... Elle prit peur et retira la main de son fils de sous sa jupe. — Non, tu y étais presque, dit Théo. — Tu ne dois pas faire ça tu m’as compris, dit-elle avec une grande colère. Théo ramena doucement sa main contre lui en la gardant bien à plat. Le regard d’Isabelle tomba sur celle-ci, les doigts étaient couverts d’une épaisse couche gluante et au creux de la main, une petite flaque de son jus. Elle expira difficilement et continua : — Si jamais tu tentes encore quelque chose comme ça... — Oh non ! Si c’est pour te mettre en colère je ne le ferai plus, dit-il avant de plonger le bout de sa langue dans la petite flaque. — Qu’est-ce que tu fais ? Demanda-t-elle horrifiée. — T’inquiètes je ne vais pas le boire, s’exclama-t-il devant les yeux horrifiés de sa mère. Je voulais savoir si tu avais le même goût que Carline. Il prit une serviette et s’essuya la main. Ensuite, avant que sa mère ne réplique quelque chose, il répondit à sa question. — ...
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