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Nouveau compagnon (1)
Datte: 09/08/2019, Catégories: Transexuels
... régal. C’est tellement bon que moi-même je me plante en entrant de plus en plus profondément et ressortant très peu. Voilà bien cinq ou six minute que je me baise tout seul quand il reprend le flambeau. — Et bien, ma salope t’es une sacrée gourmande. J’ai le fion complètement distendu et pourtant j’en veux encore plus. — Baiiseee moaaaa plu’saaa fooonnd. Et là il met le turbo. Il me pilonne… je sens à présent ses burnes me frapper les fesses. Ma respiration est bruyante et se module au rythme de ses coups de reins. Je gémis sur le même rythme, qui devient ensuite des plaintes. Non… Pas de douleurs, bien au contraire. Tout dans mon délire, je ne me souviens plus ce que j’ai pu lui sortir. Mais apparemment cela l’excitait un max. Après un temps qui m’a paru un peu court, il se retire et me demande de me mettre sur le dos. Il prend mes jambes pour les placer sur ses épaules et de nouveau, entre dans mon intimité. Mais, je ne sais pourquoi c’est sans brutalité. La pénétration se fait tout en douceur, même si elle est toujours à fond. D’ailleurs il va bien plus loin. Au point où cela devient pour moi un régal. Il me regarde puis sourit. — Tu aimes ça hein ? — Oh ouuiii. — T’es une bonne salope, mais t’as un cul serré et je vais t’arroser les boyaux. « Du latex surement. Il a oublié qu’il a son préservatif ». Mais il n’est pas seul à prendre son pied. Je ressens les prémisses de la jouissance qui me travaillent la rondelle et le bas ventre. Chose qui ne m’était plus arrivé ...
... depuis des années JEbande !... HOUAI, JE BANDE ! De nouveau, il sourit. Puis m’attrape par ma petite verge et, tout en me baisant il me masturbe. Il le fait sans aucune brutalité… Il ne me sodomise pas… Il me fait l’amour et nous jouissons de concert… Avec les mêmes râles, les même soubresauts et il s’écroule sur moi comme terrassé. Je n’ai plus de force et je m’écroule sur le canapé avec grande difficulté à respirer. Nous restons ainsi un certain temps. Lui toujours avec sa verge dans mon intimité. Même si elle s’est ramollie elle me remplit bien l’ampoule rectale. Enfin arrive le moment de se dissocier et finit par me dire merci. — Tu rigoles ! C’est moi qui te remercie de ne pas t’être comporté comme la majorité des types. Tu m’as baisé tout en douceur… J’ai pris un plaisir incroyable… Tu m’as fait bander alors que je ne connaissais plus ce plaisir depuis des années. — A moi aussi tu m’as procuré bien du plaisir. J’aimerais que l’on remette ça une prochaine fois… Si tu es d’accord bien sûr. Nous avons encore discuté pendant plus d’une heure sur nos goûts Cette journée s’est passée au début du mois de juin. Les trois semaines qui ont suivi ce fut le silence complet et j’en ai conclu que l’aventure s’arrêtée là. Et non ! Le lundi matin suivant il me contacta pour me demander de venir dans l’après-midi. Je l’acceptai avec grand plaisir. Depuis deux à trois fois par semaine nous nous rencontrons. Il me fait toujours l’amour avec la même délicatesse pour ma plus grande joie. J’ai ...