Photographier Marianne (2)
Datte: 09/08/2019,
Catégories:
Hétéro
... retirais pour voir à quel point elle s’était ouverte et je me réintroduisais sans aucun finesse. J’étais entièrement dans ma part animal, cherchant a assouvir mes envies. Au bout d’une bonne vingtaine de minutes de ce traitement, je dégoulinait la sueur, j’avais besoin d’un peu de repos. Je me suis retiré, et j’ai posé mes mains sur ses fesses pour écarter l’entrée, son anus était rougit et bien ouvert, elle ne disait plus rien, son visage reposait toujours sur le sol, sur sa joue droite, quelques cheveux revenaient sur son visage et sa bouche était ouverte, elle avait l’air assommé. Pour la réveiller, je lui ai claqué les fesses assez violemment, de ma main droite je faisais rougir son cul. Un coup sur la fesse gauche un coup sur la fesse droite tandis que de ma main gauche j’appuyais sur ses hanches pour qu’elle se cambre au plus possible. Après une vingtaine de secondes de ce traitement, je me suis repositionné, le gland prêt à entrer dans son fondement. Moi : “ Tu es une bonne chienne !” Et j’ai poussé à fond d’un seul coup, elle poussa un “hannnnn” Après ce cours repos, j’était en forme pour lui remettre quel ul à grande vitesse, j’était parti pour une course à la jouissance... J’ai accroché ses hanches pour tenter d’aller toujours plus loin. D’elle ne sortait plus que quelques cris étouffés. Pour m’assurer qu’elle restait bien éveillée et qu’elle subissait mes assauts en toute conscience, d’une main, je lui ai saisi les cheveux violemment pour décoller son visage du ...
... sol. Un rictus de douleur barrait son visage. sa cambrures était toujours parfaite et dans le même temps je continuait sa défonce anal. Mon visage était à quelques centimètres au dessus du sien. “Tu es une grosse salope” Et à la fin de ma phrase, j’ai envoyé un gros crachat sur son visage. Elle se décomposa, comme si elle ne retenait plus aucun de ses muscles, son expression se relâcha et je sentais dans le même temps que ma queue n’affrontait plus aucune résistance, plus aucune compression, le passage s’était totalement libéré. Elle jouit, dans un long cri appuyé, sans aucune force. Cela ressemblait plus à de l’air qui s’échappait de ses poumons et de son ventre sans aucun contrôle. Elle était vaincu ! Sachant qu’après cela, elle ne serait plus qu’une chose sans volonté, j’’ai reposé son visage au sol tout en continuant de prendre appuie dessus de mes deux mains, l’écrasant totalement et je me suis fini dans son cul en long jet, lui remplissant le ventre comme j’avais rêver le faire tant de fois. Je suis resté en elle quelques temps puis je me suis retiré pour observer l’ampleur des dégâts. Son anus était un trou béant qui ne se contractait plus, il était totalement ouvert. Je suis persuadé que j’aurais pu y faire entrer ma main, tant l’entrée était grande. Marianne était comme drogué, son visage n’avait plus aucune retenu, elle était hagard, attendant de se faire diriger, sans aucune force, ni résistance. Je me suis mis devant elle, j’ai saisi ses cheveux pour la remettre à ...